Initiative contre la germanophobie - Partie 2 - Les camps de la mort "nazis" soviétiques

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Les camps de la mort «nazis» soviétiques : Auschwitz, Treblinka, Belzec, Chelmno, Sobibór, Majdanek.

 

Auschwitz

L’embarras des libérateurs soviétiques

Les Soviétiques occupèrent Auschwitz le 27 janvier 1945. Ce qu’ils découvrirent était tellement contraire à ce que colportait la propagande qu’on peut dire qu’ils en restèrent bouche bée. Par son organisation même et par ses installations sanitaires, tellement modernes aux yeux des Soviétiques, ce camp était tout le contraire d’un « camp d’extermination ». Aussi, pendant plusieurs jours, la Pravda resta-t-elle silencieuse et, sur le moment, aucune commission d’enquête alliée ne fut invitée à venir constater sur place la vérité d’Auschwitz. Enfin, le 1er février, la Pravda sortit de son silence. Ce ne fut que pour mettre dans la bouche d’un prisonnier, et d’un seul, les mots suivants : 


Les hitlériens tuaient par le moyen de gaz les enfants, les malades ainsi que les hommes et les femmes inaptes au travail. Ils incinéraient les cadavres dans des fours spéciaux. Dans le camp il y avait douze de ces fours.

 

Et d’ajouter que le nombre des morts était évalué à « des milliers et des milliers » et non à des millions. Le lendemain, le grand reporter officiel du journal, le juif Boris Polevoï, affirma que le moyen essentiel utilisé par les Allemands pour exterminer leurs victimes était… l’électricité :

 

[On utilisait une] chaîne électrique où des centaines de personnes étaient simultanément tuées par un courant électrique ; les cadavres tombaient sur une bande lentement mue par une chaîne et avançaient ainsi vers un haut-fourneau.

 

La propagande soviétique était dans le désarroi et put seulement montrer dans ses films les personnes mortes ou mourantes que les Allemands, en retraite, avaient laissées sur place. Il y avait aussi, comme le montrent les actualités de l’époque sur la libération du camp, de nombreux enfants vivants ainsi que des adultes en bonne santé. La propagande juive vint alors au secours de la propagande soviétique.

  

 

Références :

Blog Faurisson - Auschwitz : les faits et la légende : https://robertfaurisson.blogspot.com/1995/01/auschwitz-les-faits-et-la-legende.html   

 

 


Un camp de travail. Le complexe du camp d'Auschwitz a été créé en 1940 dans ce qui est aujourd'hui le centre-sud de la Pologne. Il a été construit à l'origine pour accueillir des prisonniers de guerre et des prisonniers politiques polonais, tout comme la Grande-Bretagne et les États-Unis ont construit des camps d'internement pour les civils et les partisans allemands, italiens et japonais ; mais il est rapidement devenu un camp de travail pour fournir l'effort de guerre allemand et comprenait 39 sites. Les décryptages des services de renseignement britanniques ont révélé que les Juifs ne représentaient que 39 % des détenus en moyenne, les Polonais 65 % et les Russes seulement 3 %. Auschwitz I était le camp d'origine et servait de centre administratif pour l'ensemble du complexe. La construction d'Auschwitz II (Birkenau) a commencé en octobre 1941 pour désengorger le camp principal. Monowitz, ou Auschwitz III, était un grand site industriel où l'essence était produite à partir du charbon. En outre, il y avait des dizaines de camps satellites plus petits consacrés à l'économie de guerre.

 

Image à gauche. Le Bloc 10 à Auschwitz : le bloc de l'hôpital des prisonniers. Ironiquement, cet hôpital se trouve directement devant ce qu'on prétend être une "chambre à gaz". A droite, plan d’Auschwitz I. Construisez-vous un hôpital à côté (30 mètres) d'une chambre à gaz ?.

Les détenus étaient principalement affectés à des travaux généraux tels que la construction de routes et d'installations d'irrigation, ou au soutien des travailleurs civils (polonais et allemands). Des détenus travaillaient également dans l'usine d'avions Siemens au sous-camp de Bobrek, une usine d'avions appelée Siemens Schuckert Werke.

Les camps de travail environnants étaient liés à l'industrie allemande et comprenaient des usines d'armes, des fonderies et des mines. Ils utilisaient les prisonniers pour la plus grande partie du travail. Le plus grand camp de travail était Auschwitz III (Monowitz). Il a commencé à fonctionner en mai 1942 et était associé à l'usine de caoutchouc synthétique et de combustible liquide Buna-Werke appartenant à IG Farben. Onze mille ouvriers travaillaient à Monowitz. Sept mille détenus travaillaient dans diverses usines chimiques. Huit mille travaillaient dans les mines. Environ 40 000 prisonniers travaillaient dans les camps de travail à Auschwitz. Certains estiment à 83 000 le nombre de prisonniers qui travaillaient à Auschwitz. Nous ne connaissons pas le nombre exact mais ce qui est clair, c'est que des dizaines de milliers de prisonniers ont travaillé pour l'effort de guerre allemand dans le complexe pénitentiaire d'Auschwitz.


Extrait du Yad Vashem (l'organisation israélienne de commémoration de l'Holocauste), une photographie montrant des prisonniers à Auschwitz soignés dans la clinique dentaire ultramoderne du camp. Notez les vêtements rayés des prisonniers.

 

L'hôpital du camp. Des chirurgiens experts de la célèbre clinique chirurgicale de la "Charité" à Berlin ont été envoyés pour traiter les cas difficiles.

 

Image à gauche. Le Bloc 10 à Auschwitz : le bloc de l'hôpital des prisonniers. Ironiquement, cet hôpital se trouve directement devant ce qu'on prétend être une "chambre à gaz". A droite, plan d’Auschwitz I. Construisez-vous un hôpital à côté (30 mètres) d'une chambre à gaz ? 

 

A gauche. A l'intérieur de l'hôpital des prisonniers d'Auschwitz : infirmières, médecins, prisonniers, lits... Pourquoi les méchants nazis feraient-ils tout cela si Auschwitz était "consacré à tuer tout le monde" ? Centre. Un prisonnier est radiographié : une fois de plus, pourquoi faire tout cela dans un soi-disant "camp d'extermination" ? A droite, salle d'opération de l'hôpital d'Auschwitz.

 

A gauche, le Dr. Carl Clauberg, un célèbre chirurgien berlinois qui a traité des cas difficiles. Au centre et à droite des nurses.

  

Maternité d'Auschwitz 

Plus de 3 000 naissances vivantes y ont été enregistrées, et pas un seul décès de nourrisson pendant qu'Auschwitz était sous domination allemande.

Les grossesses à Auschwitz ont eu lieu en raison de la nature ouverte de l'établissement.

 

Crèche du camp d’Auschwitz 1942.


Ces deux photos de Dachau:

 

Femmes juives hongroises avec leurs bébés à Dachau, mai 1945 / Des mères juives avec leurs bébés dans une baraque d'hôpital à Dachau, mai 1945.

Personnel d’Auschwitz en villégiature. Ils ne ressemblent pas comme s’ils passaient leur temps à gazer des gens.

 

Activités sportives dans un camp de concentration, celui de Birkenau (ou «Auschwitz II») appelé, par la propagande alliée, « camp d’extermination ». 

Sur ce terrain, il se déroulait des matchs de football et il pouvait y avoir des spectateurs. Joueurs et spectateurs avaient donc vue sur ce qui se passait autour de ce crématoire. Il est, par conséquent, invraisemblable que, dans la petite cour de ce crématoire, les Allemands aient pu, presque chaque jour, secrètement rassembler des milliers de malheureux en attente d’êtres gazés, puis incinérés.

  

Il y avait des prisonniers du monde entier à Auschwitz, pas seulement des Juifs. Le camp avait été construit à l’origine pour accueillir les prisonniers de guerre polonais, et plus tard, de nombreux prisonniers de guerre russes arrivaient également.

Image en haut à gauche, la situation du terrain de football (« soccer pitch »), à portée de vue des deux crématoires (« Krema II et III ») ou selon la légende une foule de  milliers de juifs était emmenée à la mort chaque jour. Du terrain de foot se voyait également le quai de gare (« death train tracks ») descendaient des trains les déportés et ou s’effectuait, toujours selon la légende, la sélection pour la chambre à gaz.  A droite, Ron Jones, l’ancien gardien de l’équipe de Galles en « Auschwitz football league ». Ci-dessus à gauche, l’équipe anglaise de football de prisonniers de guerre qui pose pour la photo de groupe. A droite, l’équipe du Pays de Galles. Au centre de l’image, au dernier rang, Ron Jones, qui a raconté ses souvenirs en 2013 au journal  Daily Mail.

Dans un article paru dans le Daily Mail le 4 octobre 2013, l’ancien gardien de l’équipe de Galles du championnat de foot d’Auschwitz, Ron Jones, 96 ans, raconte ses souvenirs : "Nous ne travaillions pas le dimanche, alors nous jouions au football." 

La Croix-Rouge avait entendu parler de ces matchs de foot et a apporté aux équipes quatre jeux de maillots - anglais, écossais, irlandais et gallois. "Dans ces conditions, c'était un vrai plaisir de jouer au football un dimanche", a-t-il déclaré. "Mais nous ne pouvions jouer qu'en été, bien sûr, car en hiver, il y avait beaucoup de neige. " Il y avait l'humiliation d’être là et le manque de nourriture, mais dans l'ensemble, la vie n'était pas si male.  

 

"Les Allemands, contrairement à ce que beaucoup de gens pensent, étaient plutôt bons pour nous dans l'ensemble. "  

 

La cuisine du camp - l'un des plus grands bâtiments de service d'Auschwitz, avec des équipements de cuisine ultramodernes. Il y en avait douze dans tout le camp.

Le contenu calorique du régime alimentaire était soigneusement contrôlé par les délégués du camp et de la Croix-Rouge. Elle ne s'est détériorée à Auschwitz et dans les autres camps que vers la fin de la guerre, lorsque les chemins de fer allemands et l'ensemble du système de transport se sont effondrés sous les attaques aériennes constantes.

 

Quand les méchants nazis n'étaient pas trop occupés à tuer tout le monde, ils trouvaient aussi le temps de construire des réfectoires pour les prisonniers. Ci-dessus, le réfectoire d'Auschwitz III, où les "grandes" chambres à gaz étaient censées se trouver. Photographie de 1942.

 

Prison - Comme le camp était un grand établissement ouvert, les transgresseurs pouvaient être arrêtés, jugés et emprisonnés à Auschwitz.

                               Prison d’Auschwitz

 

 


Bureau des plaintes du camp où les détenus pouvaient déposer des plaintes ou faire des suggestions. Le commandant du camp Hoess avait un ordre permanent selon lequel tout détenu pouvait s'adresser à lui personnellement pour déposer une plainte concernant d'autres détenus tels que les "Kapos" et même les gardiens. Un système de discipline stricte pour les gardiens et aussi pour les détenus régnait, avec des peines sévères pour les coupables.

 

 

Photos montrant des détenus en bonne santé dans les camps

 

Lorsque l'armée soviétique s'est approchée d'Auschwitz en janvier 1945, les Allemands ont emmené les prisonniers qui étaient aptes à travailler et considérés comme assez forts pour supporter le dur voyage. Les 80 premiers kilomètres devaient être parcourus à pied pour atteindre la station la plus proche qui pouvait servir à l'évacuation vers l'Allemagne. La photo ci-dessous montre à quel point les prisonniers, même malades et faibles, étaient bien nourris et en bonne santé à Auschwitz en janvier 1945. Photo prise par les Soviétiques lorsqu'ils ont capturé le camp.

Voici une autre photo des détenus que l'armée soviétique a laissés en liberté en janvier 1945. Encore une fois, voyez par vous-même comment même les malades ont l'air en bonne santé. Beaucoup d'enfants en font partie aussi.

 

Certains des 5800 survivants de Birkenau, dont la plupart ressemblent à des paysans polonais bien nourris. Le grand homme maigre portant un brassard est le Dr. Otto Wolken, médecin au camp de quarantaine de Birkenau, qui est resté pour aider ses codétenus lorsque le camp a été évacué. 

 


Des enfants en bonne santé lors de la prise d’Auschwitz par les Soviétiques. Les Soviétiques ont tourné leurs images de propagande quelque temps après avoir pris le contrôle des camps. Ce sont les Soviétiques qui habillaient les enfants en vestes rayées des prisonniers, qu’ils n’avaient jamais portées auparavant.


 Buchenwald, 1945                                                                                         Prisonnier juif obèse, Dachau

 

Ces photos montrant des détenus en bonne santé du camp sont en totale contradiction avec le récit du camp de la mort.

 

Témoignages de survivants des camps de concentration : "Je n'ai pas vu de chambres à gaz, je n'en ai jamais entendu parler"

 


"J'étais dans les grands camps de concentration en Allemagne. Je dois dire en toute honnêteté que dans aucun camp je n'ai jamais vu quelque chose qui aurait pu ressembler à une chambre à gaz."

 

  

 

- Dr. Benedikt Kautsky (1894 - 1960), juif autrichien, homme politique et économiste.  Il a passé au total 7 ans (1938 - 1945) dans les camps de concentration allemands y compris, Dachau, Buchenwald et 3 ans à Auschwitz-Monowitz.

 

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Jean Moulin, chef de la Résistance française

  

La Résistance française

Pendant la Seconde Guerre mondiale, l'Allemagne envahit la France et occupe le nord de la France de 1940 à 1944. Une armée secrète de patriotes français, connue sous le nom de "Résistance française", a combattu l'occupant allemand de diverses manières. Un grand nombre de résistants français ont été arrêtés, emprisonnés et torturés, y compris leur chef, et héros national, Jean Moulin. Après la Seconde Guerre mondiale, la Résistance française a été libérée de divers camps de concentration allemands, y compris Auschwitz et d'autres camps de la mort présumés. À leur retour en France, ils ont tous fait des récits horribles sur la façon dont ils ont été traités par les Allemands, et étaient pleins de haine à leur égard en raison des événements de la Seconde Guerre mondiale. Cependant, ils ont tous nié toute connaissance des chambres à gaz et d'un programme de meurtres de masse dans les camps de concentration. 

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Maria Frank Abrams




« Laissez-moi vous expliquer que même si j'ai été à Auschwitz, je ne savais rien des chambres à gaz. Pouvez-vous imaginer cela ? »

- Marika Abrams (1924-2013).

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Esther Grassman

Esther Grassman a été détenue trois dans des camps de concentration durant la guerre. « Mon internement à Buchenwald et Auschwitz est indélébilement gravé dans ma mémoire », raconte-t-elle à ce journal américain. « Comme la vérité n'est pas séparable, je dois aussi dire que j'ai reçu l'aide et le réconfort de nombreux Allemands dans les moments difficiles. De plus, je n'ai pas vu de chambres à gaz, ni même entendu parler d'elles avant ma libération. »

 

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Les prisonniers britanniques

 

Les Allemands ont capturé 150 000 soldats britanniques. 150 de ces hommes étaient des ingénieurs qui travaillaient à Auschwitz-Birkenau pour entretenir les usines de fabrication qui transformaient le charbon de Silésie en essence pour l'armée allemande. Les Allemands utilisaient une formule de gazéification du charbon développée en 1915 en Russie. Ces 150 hommes avaient évidemment un accès quotidien à tous les camps mais, à ce jour, ni un procureur de Nuremberg ni un chercheur Holohoax n'ont cité leur témoignage.

 

De nombreux détenus juifs incapables de travailler

 

Mark Weber, directeur de l’Institut d’examen historique (IHR) :

 

« Plusieurs milliers de documents secrets allemands en temps de guerre traitant d’Auschwitz ont été confisqués après la guerre par les Alliés. Mais pas un seul ne fait référence à une politique ou un programme d’extermination. En fait, l’histoire familière de l’extermination d’Auschwitz ne peut être réconciliée avec la preuve documentaire.

 

On prétend souvent que tous les Juifs d’Auschwitz qui n’ont pas pu travailler ont été immédiatement tués. Les Juifs trop vieux, jeunes, malades ou faibles étaient censés être gazés à leur arrivée, et seuls ceux qui pouvaient être travaillés jusqu’à la mort étaient temporairement maintenus en vie.

 

Mais la preuve montre le contraire. En fait, un pourcentage très élevé de détenus juifs n’étaient pas en mesure de travailler et n’ont néanmoins pas été tués. Par exemple, un message interne de télex allemand daté du 4 septembre 1943, du chef du département d’allocation du travail du Bureau principal économique et administratif SS (WVHA), rapportait que sur les 25 000 Juifs détenus à Auschwitz, seuls 3 581 pouvaient travailler, et que tous les détenus juifs restants — environ 21 500, soit environ 86 % — n’étaient pas en mesure de travailler.

 

Cela est également confirmé dans un rapport secret daté du 5 avril 1944 sur les « mesures de sécurité à Auschwitz » par Oswald Pohl, chef du système des camps de concentration SS, au chef des SS Heinrich Himmler. Pohl a indiqué qu’il y avait un total de 67 000 détenus dans l’ensemble du complexe du camp d’Auschwitz, dont 18 000 ont été hospitalisés ou handicapés. Dans le camp d’Auschwitz II (Birkenau), censé être le principal centre d’extermination, il y avait 36 000 détenus, pour la plupart des femmes, dont « environ 15 000 sont incapables de travailler ».

 

Les preuves montrent qu’Auschwitz-Birkenau a été établi principalement comme un camp pour les Juifs qui n’étaient pas en mesure de travailler, y compris les malades et les personnes âgées, ainsi que pour ceux qui étaient temporairement en attente d’affectation dans d’autres camps. C’est l’opinion du Dr Arthur Butz, de l’Université Northwestern, qui affirme également qu’il s’agit d’une raison importante du taux de mortalité anormalement élevé qui s’y trouve.

 

Détenus libérés

Plus de 200 000 prisonniers ont été transférés d’Auschwitz vers d’autres camps, et environ 8 000 se trouvaient dans le camp lorsqu’il a été libéré par les forces soviétiques. En outre, environ 1 500 prisonniers qui avaient purgé leur peine ont été libérés et renvoyés dans leur pays d’origine. Si Auschwitz avait été un centre d’extermination top secret, il est difficile de croire que les autorités allemandes auraient libéré des détenus qui « savaient » ce qui se passait là-bas. »

 

                                     L’évacuation de 60 000 prisonniers avec les Allemands

 

Germar Rudolf : 

« Lorsque les Russes étaient sur le point de prendre le contrôle d'Auschwitz en janvier 1945, environ 60 000 prisonniers, dont plusieurs dizaines de milliers de Juifs, ont choisi de quitter Auschwitz et de se rendre à l'ouest avec les SS allemands en retraite en janvier 1945 - avec les mêmes personnes qui les auraient assassinés par milliers chaque jour pendant des années. Comment cela est-il possible si Auschwitz a été une sorte de "camp d'extermination" ?  En effet, ils ont rejeté leur chance d'être "libérés" par le grand allié de l'Amérique, l'Union soviétique, et ont probablement rejoint l'effort de guerre contre l'Allemagne nazie. »

 

 

       HORS SUJET III - Zgoda : Le vrai camp de la mort d'Auschwitz 

 


 

Le camp de Zgoda (ou Swietochlowice) a été ouvert en février 1945 pour les ennemis de l'Union soviétique dans l'ancienne province allemande de Silésie en Pologne. Il a été installé sur le site d'un ancien sous-camp d'Auschwitz, où des juifs avaient été contraints de travailler pour l'effort de guerre allemand. 

Le 15 mars 1945, le colonel Salomon Morel, âgé de 26 ans et sans formation appropriée, est devenu le commandant du camp. Le cruel communiste est représenté à gauche.

 


Environ 6 000 personnes étaient emprisonnées au camp de Zgoda, dont un tiers d'Allemands et le reste de Polonais et d'autres nationalités. Certaines familles avaient des enfants avec elles dans le camp. Les statistiques et les déclarations des témoins parlent de 2 mères avec des enfants de 1 à 5 ans et peut-être 2 ou 3 enfants de 6 ou 7 ans, à notre connaissance. La plupart des détenus du camp avaient plus de 40 ans et il y avait un grand groupe de personnes de plus de 60 ans. 

Les détenus étaient systématiquement maltraités et torturés par les gardiens, dont la plupart étaient juifs, y compris par Morel lui-même. Ils aimaient faire des pyramides de prisonniers battus jusqu'à six étages de haut, provoquant l'étouffement. 

La nuit, les gardiens se rendaient à la caserne des femmes, choisissaient une demi-douzaine de femmes, les emmenaient dans leurs quartiers à l'extérieur des barbelés et les violaient en groupe. 

L'une des punitions les plus cruelles consistait en un bunker où les détenues devaient se tenir dans l'eau froide, plus haut que leur tête. 

Une épidémie de typhus a rapidement éclaté dans le camp, mais aucune aide médicale n'a été offerte aux prisonniers et aucune mesure n'a été prise jusqu'à ce que l'épidémie se propage dans tout le camp. Selon certaines estimations, le nombre de victimes durant l'épidémie de typhus était de soixante à plus de cent personnes par jour. Les corps des morts étaient empilés sur des chariots la nuit et emmenés à l'extérieur du camp dans des fosses communes creusées à la hâte. Morel n'a pas informé ses supérieurs de l'épidémie de typhus avant que les journaux locaux ne fassent état de la situation.

 Il n'y a que 1 583 certificats de décès de prisonniers dans le camp de Morel, mais le commandant juif n'a pas signalé tous les décès.

 


Les crimes commis au camp sont reconnus par le droit international comme des crimes contre l'humanité. Lorsque les autorités polonaises ont commencé à enquêter après la chute du communisme en 1992, Morel a pris le premier avion qu'il a pu prendre pour Tel-Aviv. Il est à nouveau représenté sur la photo ci-dessus à droite. 

Il a ensuite été recherché par les autorités polonaises pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité. La Pologne a demandé son extradition à deux reprises, mais celle-ci a été refusée.  

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Références :

John Sack, « An Eye for an Eye: The Untold Story of Jewish Revenge Against Germans in 1945 », 1993 /  

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Treblinka

La population de Marseille incendiée sur un bûcher

800 000 personnes, - tenez-vous bien, l’équivalent de la population de Marseille -, asphyxiées au gaz d’échappement Diesel inefficace et enterrées sans trace avant d’être déterrées et incinérées sur des brasiers en plein air, puis leurs restes pulvérisés à la main et ré-enterrés, la scène du crime, grande comme un mouchoir de poche, recouverte depuis d’un socle en ciment pour "respecter" et ne pas contrôler.

Collage ci-dessus, images de haut en bas, de gauche à droite : une maquette du camp (vue d’artiste) figurant les fosses communes, maquette imaginée du bâtiment de gazage des détenus, coupure de presse alliée rapportant un bilan de sept millions de morts à Treblinka, détail de maquette montrant les rails sur lesquels étaient incinérés les gazés, image d’illustration des crémations, monument du camp symbolisant les grilles de crémation, monument du camp, photographie présentée comme illustrant les fosses communes, photographie aérienne témoignant de l’étroitesse du camp (les taches sombres sont les arbres).


L'impossible Treblinka 

Les historiens reconnaissent universellement qu'aucun des camps de Sobibór, Belzec et Treblinka ne possédait de crématoire. Tous les autres camps de concentration allemands, comme Buchenwald et Dachau, disposaient de crématoires, même si des massacres n'y auraient pas eu lieu. Pourquoi les Allemands n'auraient-ils pas construit de crématoires dans les camps précités, puisque de tels crématoires auraient été bien plus nécessaires pour accomplir les massacres ?

Selon les historiens de l'Holocauste, les corps des Juifs gazés dans les camps de Chelmno, Sobibór, Belzec et Treblinka ont d'abord été enterrés dans des fosses communes. Les corps ont ensuite été déterrés en 1943 et brûlés à ciel ouvert sans laisser de trace.


Rachel Auerbach a eu une grande influence sur l’histoire de l’Holocauste. Elle a témoigné aux procès de Nuremberg et du procès d’Eichmann.

Bien que d'énormes quantités de combustible auraient été nécessaires pour incinérer les centaines de milliers de corps présumés, il n'existe aucun document ni aucun témoin qui se souvienne des grandes quantités de bois de chauffage qui auraient été nécessaires. Selon l'historienne polono-juive Rachel Auerbach, le combustible pour brûler les corps n'était pas nécessaire à Treblinka car les corps des femmes, qui avaient plus de graisse, servaient à allumer, ou plus exactement à faire des feux parmi les piles de cadavres...

Plus incroyable encore, elle écrit :

 

"On a également constaté que le sang était un matériau de combustion de première classe." 

L'explication d'Auerbach sur la façon dont les corps ont été brûlés à Treblinka est totalement absurde. 

Cette méthode est censée avoir été développée par un SS techniquement ingénieux du nom d’Herbert Floss, qui aurait découvert que les vieux corps des femmes obèses brûlaient mieux. Il a ensuite utilisé ces cadavres idéalement combustibles comme combustible pour les autres. Alors que bien sûr les corps ne brûlent pas d'eux-mêmes, en raison de leur forte teneur en eau (plus de 60%).


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Les femmes "allume-feux" de Treblinka




Selon l'historienne juive polonaise Rachel Auerbach, le combustible pour brûler les corps n'était pas nécessaire à Treblinka car les corps des femmes, qui avaient plus de graisse, "servaient à allumer, ou plus exactement à faire du feu parmi les tas de cadavres...". Plus incroyable encore, elle a écrit que "le sang, lui aussi, s'est avéré être un matériau de combustion de première classe".



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Bien que d'énormes quantités de combustible auraient été nécessaires pour incinérer les centaines de milliers de corps présumés, il n'existe aucun document ni aucun témoin qui se souvienne des grandes quantités de bois de chauffage qui auraient été nécessaires. Selon l'historienne polono-juive Rachel Auerbach, le combustible pour brûler les corps n'était pas nécessaire à Treblinka car les corps des femmes, qui avaient plus de graisse, servaient à allumer, ou plus exactement à faire des feux parmi les piles de cadavres...

Plus incroyable encore, elle écrit :

 

"On a également constaté que le sang était un matériau de combustion de première classe."

 L'explication d'Auerbach sur la façon dont les corps ont été brûlés à Treblinka est totalement absurde.

Cette méthode est censée avoir été développée par un SS techniquement ingénieux du nom d’Herbert Floss, qui aurait découvert que les vieux corps des femmes obèses brûlaient mieux. Il a ensuite utilisé ces cadavres idéalement combustibles comme combustible pour les autres. Alors que bien sûr les corps ne brûlent pas d'eux-mêmes, en raison de leur forte teneur en eau (plus de 60%).


Les études scientifiques

 

a) L'étude de Friedrich Paul Berg sur l'arme du crime 

L'arme du crime présumée dans les quatre camps d'extermination purs (Treblinka, Belzec, Chelmno, Sobibór), le moteur Diesel, a été étudiée principalement par l'ingénieur germano-américain Friedrich Paul Berg. Berg montre clairement l'absurdité technique de la légende du moteur Diesel.

Il n'est bien sûr pas impossible, comme certains révisionnistes l'ont erronément rapporté, de tuer des gens avec des gaz d'échappement Diesel, mais c'est fastidieux et considérablement inefficace, car ces gaz d'échappement sont très mal adaptés comme armes de meurtre en raison de leur forte teneur en oxygène et de leur très faible teneur en monoxyde de carbone. Alors qu'un moteur à essence peut facilement produire des gaz d'échappement ayant une teneur en monoxyde de carbone de sept pour cent ou plus, un moteur Diesel ne peut même pas produire une concentration de monoxyde de carbone de un pour cent, même si le moteur est mal réglé pour augmenter la teneur en monoxyde de carbone. Ironiquement, l'introduction de gaz d'échappement Diesel dans une chambre remplie de personnes ne ferait que prolonger la lutte contre la mort des victimes, puisque ces gaz contiennent une teneur en oxygène d'environ 16%, ce qui est suffisant pour la survie. Au lieu d'introduire les gaz d'échappement, les bourreaux auraient pu simplement les laisser suffoquer. Dans tous les cas, tout l'oxygène disponible aurait été respiré avant que le monoxyde de carbone ne fasse effet ! 

Tout moteur à essence, sans parler des générateurs à gaz déjà mentionnés ailleurs, aurait été incomparablement plus efficace comme arme du crime qu'un Diesel. 

Exactement comme l'histoire du Zyklon B, celle du Diesel a manifestement été inventée par des crétins techniques - au détriment des exterminationnistes, puisque l'histoire du moteur Diesel est dans les livres d'histoire, et qu'il n'y a aucun moyen de la faire disparaître.    



Robert Faurisson :

 

 

L’invraisemblable gazage au monoxyde de carbone

 

Les histoires qu’on nous raconte ici ou là sur des moteurs Diesel servant à asphyxier des gens sont invraisemblables; un moteur Diesel fournit surtout du gaz carbonique (CO2) et peu d’oxyde de carbone (CO) ; il fournit plus de CO, s’il est déréglé. Or, le CO2 n’est pas toxique comme le CO. Il provoque la mort dans la mesure où il finit par se substituer à la longue à l’oxygène dont nous avons besoin pour respirer. Les récits de Gerstein sont pleins d’invraisemblances : l’une de ces invraisemblances est qu’à Belzec, pendant des années, on aurait tué des centaines de milliers de gens avec un vieux moteur Diesel !

Même l’oxyde de carbone a des inconvénients. Ce gaz ne se répand pas de façon homogène dans un lieu donné. Il suit les courants d’air. Supposons un camion ou seraient enfermées plusieurs personnes à gazer. Le résultat pourrait être le suivant: selon le parcours de l’oxyde de carbone, certaines personnes seraient tuées, d’autres seraient simplement rendues malades, d’autres enfin seraient indemnes.

Les Allemands possédaient-ils tellement d’essence qu’ils pouvaient en consommer de cette manière ?

 

 b) L'étude d'Arnulf Neumaier  sur les crémations 

La manière dont les corps de Treblinka auraient été éliminés a été étudiée en détail par l'ingénieur Arnulf Neumaier. Neumaier suppose 875.000 corps, chiffre donné lors du procès Demjanjuk. Pour Belzec et Sobibór, où les crémations sont supposées avoir eu lieu sur le même modèle, le nombre de victimes mentionné dans ce qui suit doit être réduit en conséquence. 

Pour brûler 875 000 corps en plein air, il aurait fallu au moins 200 kg de bois par cadavre, soit un total de 195 000 tonnes. Cela équivaut à une forêt de 6,4 km de long et 1 km de large. Les actions de crémation, qui sont censées avoir duré de début mars à fin août 1943, auraient nécessité 2 800 bûcherons par jour, en supposant qu'il faille un homme pour abattre un arbre, couper les branches et le scier. Selon la littérature de l'Holocauste, il n'y avait que 500 "juifs travailleurs" au total dans le camp, dont 25 seulement, selon un survivant de l'Holocauste nommé Richard Glazar, étaient chargés de couper du bois, c'est-à-dire moins de 1 1/2% du nombre requis. Un terrain déboisé de la taille correspondante n'existe pas, et n'existait pas, dans les environs de Treblinka ; le transport de 195 000 tonnes de bois vers le camp aurait certainement été noté dans les registres de la Reichsbahn, si le bois avait été apporté d'un autre endroit. 

De plus, les 875 000 corps auraient laissé 2 900 tonnes de cendres en plus des 1 000 tonnes de cendres de bois. Ces cendres auraient contenu des millions de morceaux d'os non brûlés, en plus de 20 à 30 millions de dents - même si nous supposons que chacune des 875 000 victimes n'avait pas une dent en moyenne. Si les Soviétiques et les Polonais n'avaient trouvé qu'une fraction de ces cendres, os et dents, ils auraient mis sur pied une commission internationale avec une énorme propagande et le monde entier aurait eu la preuve de la bestialité allemande. Alors pourquoi ne l'ont-ils pas fait ? 

De toute façon, l’affaire est entendue et, ainsi que le montrent leur ouvrage et cent autres preuves, Treblinka II n’a jamais pu être qu’un banal et modeste «Durchgangslager», c’est-à-dire un camp de transit pour juifs à transférer vers Majdanek, Auschwitz ou d’autres camps de concentration et camps de travail au sud ou à l’est.                                                                                           



Le problème des fosses communes

Germar Rudolf :

« Il faudrait nécessairement qu'il y ait d'énormes vestiges de fosses communes sur un site qui aurait assassiné dix fois la capacité du Los Angeles Colliseum, qui compte 90 000 sièges. Le radar à pénétration de sol peut détecter des perturbations du sol aussi énormes que celles dont les croyants de Cole et Treblinka affirment l'existence, mais le radar GPR / LIDAR de Caroline Sturdy Colls ne montre rien de tel.

Le balayage du radar à pénétration de sol de Caroline Colls prouve en fait que les "négateurs" ont raison. Dans le quadrant "camp d'extermination" du camp (en bas à droite), il n'y a tout simplement pas de marques signifiant des fosses communes massives qui auraient pu contenir 900 000 corps. À part quelques petites "marques de poche", le sol semble en fait remarquablement peu perturbé.

Les archéologues ont choisi de creuser dans des zones qui présentaient des perturbations du sol. Ils n'ont trouvé que des dents de requin fossilisées. Ne devraient-ils pas aussi être en mesure de trouver 25 millions 200 000 dents juives enterrées à Treblinka ?

Cette preuve tangible prouve que Cole a mal interprété les documents et que ses "mots de code" ne veulent rien dire alors que nous avons maintenant la preuve indéniable qu'il n'y a pas de perturbations massives du sol signifiant des fosses communes massives pour les 900 000 personnes qui auraient été gazées, enterrées, déterrées et ré-enterrées à Treblinka 2.

Pour clarifier les choses, il y a certainement des fosses communes à Treblinka, principalement pour ceux qui sont morts sur le chemin de Treblinka. Mais il est impossible que près de 900 000 personnes aient pu être enterrées dans ce terrain remarquablement peu perturbé.

Bien que Cole affirme que ces preuves physiques (ou le manque de preuves indiquant la présence de fosses communes) ne valent rien, il s'agit en fait des preuves les plus importantes, et non de documents mal interprétés, avec des mots de code ou des spéculations supplémentaires. Les preuves sont toujours là !

Le "Grand Rabbin de Pologne", avec un accent new-yorkais, refuse l'excavation et l'exhumation complète de Treblinka qui détruirait définitivement le mythe de "l'Holocauste" ou détruirait le "négationnisme".

Le rabbin ne comptait pas sur la technologie non invasive du LIDAR et du GPR pour voir à travers le sol, exposant ainsi le canular de Treblinka.

Où sont allés les Juifs ?

Où sont allés les Juifs après avoir transité par les districts du Gouvernement général et de la Warthegau ? Probablement vers l'un des 42 500 camps et ghettos récemment admis, et non vers les 7 000 que l'on pensait auparavant. »


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Quand je fais mon jogging le matin sur la plaine de Plainpalais, à Genève (image à gauche), je pense souvent à l’absurdité de Treblinka. Sur une surface d’aussi petite dimension, de sept hectares, l’équivalent de la population de Marseille – 800 000 personnes – aurait été asphyxié à la chaîne  aux vapeurs Diesel inefficaces puis enterré plusieurs mois avant d’être déterré et incinéré en un meme lieu sur d’énigmatiques bûchers. L’image ci-dessus à droite, une vue d’artiste, est révélatrice de la difficulté à reproduire la façon de procéder. L’auteur n’y parvient pas.




À notre connaissance, le seul cas bien documenté d'incinération massive sur des bûchers en temps de guerre s'est produit après le bombardement de Dresde par les Alliés (13/14 février 1945). Pour prévenir l'apparition d'épidémies, 6 865 corps ont été brûlés en deux ou trois semaines sur l'Altmarkt de Dresde. La crémation se déroulait sur des grilles formées par la mise en place de rails de tramways sur des socles en brique sur lesquels les corps étaient empilés sur une distance de 2 à 2,5 mètres.

Les grilles étaient si basses qu'il n'y avait pratiquement pas de place sous les grilles pour le bois de chauffage, qui était de toute façon rare dans la ville complètement détruite. Les corps ont donc été trempés dans de l'essence ou du gazole, puis ils ont couvé pendant des heures. Cette crémation improvisée avait très peu de choses en commun avec l'incinération d'un corps dans un crématorium.

Comme seul un combustible liquide avait été utilisé, la crémation ne produisait pas de cendres de bois. En revanche, les os n'étaient (vraisemblablement) pas complètement brûlés et avaient encore une structure relativement grossière. Néanmoins, comme ils devaient être enterrés dans une fosse commune sur le Heidefriedhof de Dresde, aucun autre broyage n'était nécessaire. En tout cas, la crémation a rempli son rôle, car aucune épidémie n'a éclaté. La crémation des 6.865 corps a pris environ quatorze jours. Ainsi, seuls 500 corps environ pouvaient être incinérés par jour, alors qu'il y avait au total huit brasiers._

 

Ossements pulvérisés à la main au maillet !



 

Chil Rajchman (également connu sous le nom de Henryk Reichman), survivant de Treblinka qui travaillait dans le camp d’extermination, se souvient : « Les membres des cadavres qui avaient été incinérés dans les fours gardaient souvent leur forme… Les ouvriers du commando chargé des cendres devaient briser ces parties des corps avec des maillets en bois spéciaux […] Près des tas de cendres se trouvaient des treillis métalliques épais et étroits, à travers lesquels les cendres brisées étaient tamisées, tout comme le sable est séparé du gravier. Tout ce qui ne passait pas était frappé à nouveau. Le broyage avait lieu sur de la tôle qui se trouvait à proximité […] (les) cendres ne devaient pas contenir la moindre partie d’os et être aussi fines que de la cendre de cigarette ».

 

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Robert Faurisson retrouve le chauffeur de locomotive de Claude Lanzmann

 

Extraits :

 

 


Treblinka : un guide exceptionnel

 

Dans quelques conférences, dans une vidéo et dans ma correspondance, il m’est arrivé d’évoquer, à propos de Treblinka, le témoignage de Marian Olszuk mais, pris dans la tourmente du combat révisionniste, j’ai, pendant quinze ans, toujours remis à plus tard la rédaction d’un texte qui aurait porté sur ma rencontre avec cet exceptionnel témoin polonais. (…) En ce qui concerne Treblinka, j’ai encore en ma possession une trentaine de photographies qui témoignent de mon enquête sur ce haut lieu de la «Shoah».

Ma méthode d’investigation

Ma méthode habituelle d’investigation consiste d’abord à rassembler le plus de documentation possible sur un sujet donné, puis à m’extraire des écritures ou des archives chères à ceux que j’appelle «les historiens de papier» et, enfin, à me rendre sur le lieu de l’enquête. Là, après un examen prolongé du site, je recherche des témoins. Ces témoins, je les veux aussi proches que possible du lieu que j’ai examiné. Mon interrogatoire est, en général, direct et pressant; en tout cas, il n’est marqué d’aucune timidité. Des témoins de tous âges, de toutes conditions, de tous partis peuvent m’intéresser, mais l’expérience m’a enseigné que, dans ce type d’enquêtes, mieux vaut jeter son dévolu sur des témoins aussi peu intellectuels que possible et qui, à l’âge des faits, n’avaient pas plus de vingt ans. (…)

Un témoin d’exception: Marian Olszuk

A Treblinka, ma chance a été de découvrir un témoin et même un guide exceptionnel en la personne de Marian Olszuk. Agé de 63 ans, il était né, tout près de là, à Wolka Okraglia. A l’époque des faits qui nous intéressent ici, c’est-à-dire en 1942-1943, il avait 17 et 18 ans. On ne pouvait guère imaginer un homme qui eût été plus proche des deux camps de Treblinka. De décembre 1941 à juillet 1944, Treblinka I, tout proche d’une gravière fournissant la ville de Varsovie, avait servi de camp pénitentiaire principalement à l’usage de Polonais, juifs ou non juifs, coupables d’infractions aux lois de l’occupant. Du 23 juillet 1942 au 14 octobre 1944, Treblinka II avait été un camp réservé aux juifs, principalement aux juifs en provenance de Varsovie; la légende allait en faire – dans le jargon des Alliés – un «camp d’extermination», cette extermination d’au moins 870 000 juifs s’étant étendue sur une durée d’environ neuf mois (de la fin de juillet 1942 au mois d’avril 1943, d’après l’Encyclopedia of the Holocaust). Membre d’une famille de huit enfants, Marian Olszuk travaillait tous les jours à la gravière avec d’autres Polonais relativement libres de leurs mouvements ou avec des prisonniers que surveillaient soit des soldats allemands armés de pistolets, soit des gardes ukrainiens munis de carabines. Son père était bûcheron. Le soir, le jeune homme revenait à la ferme familiale, située, par la route, à deux kilomètres au nord de Treblinka II. Souvent il se rendait à la pièce de terre que son père possédait à 300 mètres de l’enclos de fil de fer barbelé qui délimitait, à l’est, le «camp d’extermination». La terre étant pauvre, on y cultivait le seigle et le lupin. Passant au pied d’une tour de guet, il arrivait au jeune Marian d’engager la conversation avec les sentinelles. Peu farouches, ces dernières lui jetaient parfois des cigarettes du haut de la tour. Le camp n’occupait qu’environ 13 ou 14 hectares (à comparer avec les 388 hectares du camp d’Oranienburg-Sachsenhausen situé au nord de Berlin!). En 1942-1943, l’espace occupé par le «camp d’extermination» était à peu près dépourvu d’arbres ou de gros buissons et, par conséquent, les paysans du coin ou les promeneurs pouvaient à loisir, à travers les barbelés, contempler aussi bien les prisonniers et les gardes que les différents bâtiments d’un camp qu’on prétend aujourd’hui avoir été ultrasecret. Quand on faisait face à l’entrée du camp, la ferme de la famille Olszuk se situait à deux kilomètres à gauche tandis que leur pièce de terre se trouvait, tout de suite à droite, à trois cents mètres de la limite orientale. Marian Olszuk passait donc à proximité du «camp d’extermination» tous les jours où il allait travailler à la gravière, et, quand il travaillait à la pièce de terre familiale, il était également tout près dudit «camp d’extermination».

Il n’était évidemment pas question pour le jeune homme de pénétrer dans l’enceinte du camp, mais, à l’entrée, chaque jour, des gens se pressaient en foule qui, ostensiblement, pratiquaient troc et marché noir. Des trafiquants venaient de Varsovie pour vendre de la marchandise aux gardes ukrainiens qui, à leur tour, traitaient avec les prisonniers juifs auxquels ils vendaient de la nourriture, y compris, pour ces juifs mêmes, jambons et saucisses, ce qui, à l’époque, constituait un luxe. L’existence des deux camps de Treblinka était de notoriété publique et les détenus juifs passaient, dans l’ensemble, pour ne manquer ni d’argent, ni d’or, ni de bijoux.

Dans ce «camp d’extermination», Marian Olszuk avait-il jamais relevé les signes d’une activité criminelle de la part des Allemands? La réponse était non. Une fois, il avait observé un grand feu dans le camp mais il s’agissait d’un feu de vêtements formant une masse de près de quatre mètres de hauteur. Jamais il n’avait vu brûler de cadavres. Cependant, à plusieurs reprises, il avait entendu, pendant la nuit, des cris et des lamentations de femmes et d’enfants qui parvenaient jusqu’à la ferme. Parfois, le camp dégageait d’immondes puanteurs. Notre témoin avait-il entendu parler de chambres à gaz? Oui, il avait rencontré un Russe qui lui avait dit que les Allemands utilisaient «une chambre à gaz mobile montée sur rails» (sic). C’est près de Treblinka I que les Allemands fusillaient les condamnés à mort. Dans ses déplacements, il arrivait fréquemment au jeune ouvrier-paysan de croiser des juifs logés dans le camp de Treblinka II; ces juifs vaquaient à divers travaux dans les bois sous la surveillance de gardes ukrainiens qui, d’ailleurs, souvent désertaient. La nourriture était exécrable. Son propre travail consistait, pendant huit heures par jour, à charger à la pelle des wagonnets (ou des wagons?) de sable ou de gravier. En hiver, le froid rendait le travail particulièrement pénible. Personnellement, il n’avait jamais vu tuer un juif. Un jour, son père avait fourni des vêtements à un juif qui s’était échappé du camp. Il arrivait des convois de juifs tous les jours. Finalement mobilisé pour aller travailler en Prusse, Marian avait pris la fuite, s’était réfugié à Varsovie et n’était revenu à la ferme qu’après la fermeture des camps. Il se souvenait qu’on avait alors ouvert des charniers contenant des restes humains, de l’or et des rubis.

Le plus stupéfiant est qu’à la libération et après la guerre aucune commission d’enquête, aucune autorité administrative ou de police ne l’avait interrogé sur les événements survenus à Treblinka. Il y avait eu des commissions d’enquête, dont sont connus les extravagants rapports, dignes en tout point du rapport soviétique sur Katyn (URSS-008), mais aucune de ces commissions n’avait auditionné la famille Olszuk. Encore en 1988, la guide officielle du camp, Maria Pisarek, nous affirmait froidement: «Personne dans les environs ne vous parlera». Or Marian Olszuk allait, comme on le voit, nous parler longuement et, à la différence d’un autre témoin polonais, sobrement.

Les fausses dimensions du «camp d’extermination»

(…) C’est lors de cette marche que notre homme nous avait fait une révélation: le camp avait été, en réalité, de dimensions plus réduites qu’on ne le disait aujourd’hui aux touristes; en effet, après la guerre, en 1947, les autorités avaient racheté à plusieurs propriétaires leurs pièces de terre respectives afin d’en agrandir le «camp d’extermination». Une première famille ainsi expropriée avait été celle de Franciszek Pawlowki et la seconde, celle des Olszuk qui, pour leur part, n’avaient eu à concéder qu’une pièce de 2 500 m2. Sur le dessin ci-joint, dressé par Tjudar Rudolph avec les moyens du bord, on notera la différence de superficie entre le camp réel de 1942-1943, soit environ 14 hectares, et le camp pour touristes de 1988, soit environ 23 hectares. Au terme de cette visite des lieux, Marian Olszuk avait pris congé de nous et, pour notre part, nous nous étions remis à notre besogne d’arpentage quand soudain avait surgi, à vélomoteur, le directeur-adjoint du musée de Treblinka. Nous apercevant, il était entré dans une vive colère, nous déclarant que jamais de sa vie il n’avait vu pareille opération. J’apaisais son ire en lui faisant valoir que, précisément pour mieux mesurer ce qu’avaient enduré les prisonniers de Treblinka, il nous avait paru nécessaire de mesurer les dimensions du camp lui-même. (…)

(…) Les récits des deux fonctionnaires revêtaient un aspect involontairement burlesque: à lui seul, le cadre dans lequel ils s’exprimaient avec, par exemple, les dimensions si modestes du «camp d’extermination» infligeait un démenti aux aberrations de la thèse officielle qu’ils nous débitaient et selon laquelle, par exemple, les Allemands avaient tué là et enterré sur place, en l’espace de neuf mois, environ 870 000 personnes (W. Trebicky, pour sa part, en tenait pour le nombre, bien supérieur, de 1 500 000 victimes!).

Notre intention était de revenir voir Marian Olszuk pour la troisième fois car il nous restait toute une batterie de questions à lui poser. (…) Mais, à défaut de revoir Marian Olszuk, j’allais retrouver la trace d’un rare oiseau: le fameux chauffeur de locomotive filmé par Claude Lanzmann dans Shoah.

L’aveu spontané du chauffeur de locomotive

L’un des plus importants témoins de Claude Lanzmann n’était autre que Henryk Gawkowski, qu’on voit dans le film Shoah, revêtu de sa tenue de chauffeur, coiffé d’une casquette et conduisant une locomotive comme au temps où il transportait des convois de juifs de Varsovie à Malkinia, puis à Treblinka. Dans une scène de reconstitution, il se penche à la portière de la locomotive et, se passant le doigt sur la gorge, il fait en direction des juifs un geste qui signifie qu’on va leur couper le cou (pour la transcription des dialogues et l’indication des jeux de scène, on consultera Claude Lanzmann, Shoah, préface de Simone de Beauvoir, Fayard, 1985, p. 47-49).

Je retrouvais notre homme à Malkinia, où il était né en 1922. Les matins, l’interrogatoire se déroulait sans trop d’encombre mais, les après-midi, sous l’effet de la boisson, H. Gawkowski devenait intarissable et se révélait incapable de répondre aux questions posées. Il dissertait de tout comme s’il avait tout vu. Il ne se souvenait pas du nom de Lanzmann mais peut-être ce dernier, cédant à son habitude, s’était-il présenté à lui sous un nom d’emprunt et s’était-il, en outre, paré de titres universitaires usurpés (Ecrits révisionnistes (1974-1998), 1999, II, p. 746). En revanche, H. Gawkowski ne manquait pas d’évoquer avec émotion le responsable du film, un Français, nous confiait-il, qui lui avait fourni de si bons «vins espagnols» (sic, probablement pour: «vins français»).

Par chance, un matin, alors qu’il nous récitait des histoires manifestement lues et non vécues, je l’avais interrompu pour lui poser à brûle-pourpoint une question qui allait faire s’écrouler l’édifice de ses hâbleries ainsi que de ses régurgitations d’autodidacte. Je lui demandais: «Mais alors, vous avez eu conscience d’amener ainsi à leur mort tous ces juifs, jour après jour, et cela pendant près de quinze mois?» La réponse allait fuser: «Non, bien sûr que non!» Je lui demandais à quel moment il en avait pris conscience. Réponse: «Après la guerre». Autrement dit, pour reprendre l’apologue du révisionniste américain Arthur Robert Butz, H. Gawkowski faisait partie de la cohorte de ceux qui, sur le moment, n’avaient pas vu «l’éléphant». Il ne l’avait ni vu ni entendu barrir mais, bien plus tard, il avait acquis la conviction que, dans ce coin particulier de Pologne, un monstrueux pachyderme avait, pendant près de quinze mois, secrètement hanté les lieux, semant la terreur sur son passage. A croire que «l’éléphant» était magique, à moins qu’il n’eût été un mirage!

Le «camp d’extermination» était bien un camp de transit

Pour se rendre compte que les prétendues chambres à gaz d’Auschwitz n’ont pas pu exister, il suffit de voir la chambre à gaz, bien réelle, celle-là, d’un pénitencier américain. Pour comprendre que les prétendus rendements attribués aux fours crématoires d’Auschwitz sont fictifs, il suffit de s’informer sur les rendements, bien réels, ceux-là, des fours crématoires qui sont en usage aujourd’hui. Pour constater de visu que l’histoire attribuée à Anne Frank fourmille d’impossibilités physiques, il suffit de visiter, les yeux ouverts, la «Maison Anne Frank» à Amsterdam. De la même façon, pour mesurer à quel point les prodigieuses exterminations et inhumations secrètes de juifs à Treblinka ne sont qu’un mensonge, il suffit de parcourir aujourd’hui le quadrilatère formé par le camp et d’en noter les modestes proportions (environ 248m x 372m x 468m x 472m).

Les révisionnistes peuvent évidemment accumuler cent autres arguments, passer en revue les «témoignages», les «aveux», les «confessions», les procès et les livres où, à chaque instant, pour un lecteur tant soit peu attentif, les accusations juives concernant ce camp se révèlent illusoires et fausses. On peut se divertir à constater que, déjà au procès de Nuremberg, en 1946, le président du tribunal, aidé du procureur soviétique, se précipitait pour empêcher le témoin Samuel Rajzman de déposer une pièce censée représenter le plan de Treblinka; il faut dire qu’à l’époque ce juif parlait de «chambre à gaz» (au singulier) et de «four crématoire» là où il est admis qu’il n’y a jamais eu de four crématoire et là où, selon un document ayant, pour le tribunal, valeur de «preuve authentique», il y avait eu des «chambres à vapeur» et non pas une ou des «chambres à gaz» (IMG, VII, p. 357 et document PS-3311). On peut rappeler que l’Allemand Kurt Franz, sur les apparentes confessions duquel on se fondait pour renforcer la thèse des gazages de Treblinka, avait fini par écrire en toutes lettres: «Je n’ai rien eu à faire avec les gazages de juifs ni à Treblinka ni ailleurs» (Ecrits révisionnistes, op. cit., II, p. 753-755). On peut s’amuser à reproduire côte à côte des plans juifs ou communistes de Treblinka II et démontrer que tous sont, en ce qui concerne les bâtiments d’extermination, remarquablement vagues et, en outre, incompatibles entre eux. Et ainsi de suite.

(…)

De toute façon, l’affaire est entendue et, ainsi que le montrent leur ouvrage et cent autres preuves, Treblinka II n’a jamais pu être qu’un banal et modeste «Durchgangslager», c’est-à-dire un camp de transit pour juifs à transférer vers Majdanek, Auschwitz ou d’autres camps de concentration et camps de travail au sud ou à l’est.

Le gros mensonge de Treblinka devrait donc aller rejoindre, dans les poubelles de l’histoire, l’énorme mensonge d’Auschwitz.

Source : Blog inofficiel Robert Faurisson      https://robertfaurisson.blogspot.com/search?q=treblinka



"2 764 0000 Juifs ont été tués à Treblinka", témoignage de Samuel Rajzman au Tribunal Nuremberg, qui était le seul "survivant" à témoigner à la barre.

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Les trois fouilles de Treblinka

 

Thomas Dalton résume l’état des recherches. En tous trois maigres fouilles ont été réalisées dans ce camp dont l’histoire officielle affirme que près de 900 000 y sont mortes.

 

1.      Enquête soviéto-polonaise (1944). Menée peu après la prise du camp par les Russes en août 1944, cette équipe a découvert trois fosses communes, avec un grand total de quelque 300 cadavres. Sur la base de ces maigres preuves, l'équipe a déclaré que le camp était "une énorme usine de mort", et a annoncé qu'"environ trois millions" y sont morts. Cette étude n'est guère crédible, pour des raisons évidentes.

 

2.       Enquête polonaise (1945). Un an plus tard, une autre équipe polonaise a analysé le site, pendant cinq jours. Des restes humains n'ont été trouvés qu'au cours d'une seule journée de fouille, déterrant "une grande quantité de cendres ainsi que des restes humains [non brûlés]". Encore une fois, c'est une enquête quantitative pratiquement inutile.

 

3.      C. Sturdy Colls (2007-présent). Récemment, une archéologue britannique d'une vingtaine d'années, Caroline Sturdy Colls, a été en quelque sorte enrôlée pour mener la première enquête sur Treblinka depuis les années de guerre. Son travail, appelé "première fouille jamais réalisée" du camp, avance à petits pas depuis sept ans maintenant, avec très peu d'analyses à l'appui. Elle n'a publié aucun livre à ce sujet, aucun document quantifiant les résultats, et pratiquement rien de substantiel. Son principal objectif semble être de produire des reportages et des "documentaires" sur le camp qui promeuvent le point de vue traditionnel.

 

 

Recherches récentes infructueuses

 

Le site Démocratie Participative , au ton amusant, fait le point sur les recherches les plus récentes, celles de C. Sturdy Colls :

 

« En 2014, les médias britanniques cherchaient encore des « preuves » à Treblinka bien que tout était censé être « définitivement prouvé » par ailleurs. Une équipe d’experts annonçait avoir trouvé le Graal : un reste de chambre à gaz frappé d’une étoile de David. Des « experts » menés par la Britannique Caroline Sturdy Colls assuraient que les Allemands utilisaient de telles étoiles pour faire passer les chambres à gaz « pour des bains rituels juifs ».


Et puis, peu de temps après, des révisionnistes firent observer que non loin de là, une usine polonaise fabriquait depuis longtemps des tuiles avec ce sigle.



On entendit plus jamais parler de la « preuve définitive » que les médias britanniques avaient triomphalement présentée aux foules quelques mois plus tôt.

 

Toujours au même moment, Caroline Sturdy Colls prétendit apporter la preuve de la présence de fosses communes géantes à Treblinka où étaient censées être enterrées les cendres de 800,000 juifs « gazés ». Au terme d’un laborieux compte rendu intitulé « Que la terre ne dissimule pas mon sang » : approches médico-légales et archéologiques pour localiser les restes des victimes de l’Holocauste », Colls admet platement que la tâche est « impossible ».

 

Il faut dire qu’à Treblinka les choses sont simplifiées par le fait que les organisations juives interdisent aux scientifiques d’y réaliser des fouilles.

Caroline Sturdy Colls s’essaie dans cette étude à un étrange exercice consistant à fouiller le site de Treblinka sans le fouiller. En résulte une étude dépourvue de chiffres et un très long récit romancé au sujet de cette absence de chiffres qu’elle présente comme une preuve définitive.

Manchester Open Hive :

 

 

En 2010, Richard Wright s’est penché sur la question de savoir « où sont les corps » en relation avec les génocides des XXe et XXIe siècles. C’est une question qui est souvent posée à propos de l’Holocauste, parfois par les proches de ceux qui ont été tués, parfois par des individus curieux, mais aussi, plus communément, par ceux qui nient que les nazis aient perpétré des meurtres de masse. Il est certain que cette question a été posée à plusieurs reprises à propos de Treblinka et que l’un des principaux objectifs de la recherche archéologique était de tenter d’y répondre. La réponse de travail élaborée par l’auteur est que, dans certains cas, nous ne savons tout simplement pas où se trouvent les corps et peut-être que cela ne sera jamais le cas. Cependant, dans d’autres cas, la réponse éloquente de Wright à sa propre question – « dans le sol » – peut également être fournie.

Il est probable que des méthodes d’élimination des corps aussi diverses existent et varient sur d’autres sites de l’Holocauste en Europe. Les archéologues doivent être réalistes quant à la mesure dans laquelle ils peuvent contribuer aux discussions sur le nombre de victimes. À la lumière de ce qui précède, les archéologues ne doivent pas essayer de faire de telles estimations, mais plutôt expliquer quels sont les vestiges qu’il est ou a été possible de localiser et ceux qui ne le sont pas. Le fait qu’il n’est pas possible de localiser les vestiges indique en soi que les auteurs de ces crimes ont tenté de les cacher, que le paysage a changé et que les équipements de détection sont actuellement limités, autant de facteurs que les archéologues engagés dans ces recherches devraient clairement préciser.

 

Voici la fabuleuse théorie de cette « experte » britannique : « si l’on ne trouve rien quelque part, c’est la preuve qu’il s’y est passé quelque chose car on aurait forcément dû y trouver quelque chose. »

 

C’est le sophisme utilisé par le juif Vidal-Naquet après avoir été acculé par le Professeur Robert Faurisson : « Il ne faut pas se demander comment techniquement un tel meurtre de masse a été possible. Il a été possible techniquement puisqu’il a eu lieu. Tel est le point de départ obligé de toute enquête sur ce sujet. » 



Caroline Sturdy Colls


Avec une telle méthodologie, vous pouvez dès demain creuser dans votre jardin, ne rien y trouver et déclarer publiquement que c’est la preuve irréfutable que les Nazis y ont tué 10,000 juifs. Vous serez probablement invité par la BBC pour un documentaire et Le Monde s’en prendra à tous ceux qui vous accuseraient de mentir. »

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Références :

Carlo Mattogno, Jürgen Graf: TreblinkaExtermination Camp or Transit Camp? :http://holocausthandbooks.com/index.php?page_id=8 // Radio Christanity – « Holocaust Deprogramming Course » // Blog Robert Faurisson : Treblinka : un guide exceptionnel https://robertfaurisson.blogspot.com/search?q=treblinka //Wear’s War- The Trouble With Treblinka: German Guilt Is Affirmed By The Improbable, The Impossible, An Ever Shrinking Death Toll & Rising Compensation Bill : https://wearswar.wordpress.com/2018/12/01/the-trouble-with-treblinka-german-guilt-is-affirmed-by-the-improbable-the-impossible-an-ever-shrinking-death-toll-rising-compensation-bill  // Renegade Tribune - Treblinka: Extermination Camp or Transit Camp? : http://www.renegadetribune.com/treblinka-extermination-camp-or-transit-camp  // Démocratie Participative : La preuve définitive des chambres à gaz découverte à Treblinka : https://democratieparticipative.icu/la-preuve-definitive-des-chambres-a-gaz-decouverte-a-treblinka //

 



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Belżec

500 000 cadavres sous le ciment

 

« Parce que juives », un demi million de personnes – l’équivalent de la population de Nantes - gazées avec de mystérieuses installations nazies puis enterrées dans des fosses communes avant d’être déterrées et incinérées sur des grilles en plein air et ré-enterrées, le "centre de mise à mort" désormais scellé sous une mer de béton pour "respecter" et ne pas contrôler. 


Collage ci-dessus, images de haut en bas, de gauche à droite : 1) Le camp de Belzec tel qu’il s’offre aux visiteurs aujourd’hui : une mer de béton. 2) Groupe de touristes 3) Monument reconstituant un bûcher. 4) Article de presse d’époque faisant état de meurtres de masse à Belzec par électrocution 5) Vue d’artiste de la crémation des corps 6) Vue aérienne du camp lorsque celui-ci a déjà été détruit. 7) Pommeau de douche retrouvé lors des fouilles. 8) Gardiens allemands du camp. 9) Les bâtiments de gazage, de taille modeste, tels qu’imaginés par l’histoire officielle. Notez qu’ils ressemblent à des pigeonniers… Un moteur de char russe T-34 aurait fonctionné, destiné à produire les gaz asphyxiants.


L’incroyable processus en 7 étapes





Bełżec est un autre camp « d’extermination » où sont censés avoir été éliminés entre 430,000 et 500,000 juifs.

Là aussi, entre 1997 et 1999, une équipe « d’experts » polonais est intervenue pour localiser les « fosses communes » où étaient censés se trouver un nombre de cadavres équivalent à la population de la ville de Nantes. Le professeur Andrzej Kola a procédé à 2,000 carottages. Il affirme avoir identifié 33 « fosses communes » dont il évalue la capacité à 15,840 mètres cubes dont 6,700 mètres cubes de cendres. Sur ces 6,700 mètres cubes, la moitié serait des cendres humaines, l’autre moitié les cendres du bois nécessaire à la crémation.

 

En partant d’une moyenne de 2,5 kilos de cendres par corps incinéré théoriquement, tous âges et sexes confondus, on obtient 1,250,000 kilos de cendres. Soit 1,250 tonnes, ce qui représente 1,100 mètres cubes de cendres humaines.

Autrement dit :

·         les « fosses communes » que Kola prétend avoir découvertes sont 15 fois plus grandes que ce qui aurait été nécessaire à l’enfouissement des cendres.

·         même en y ajoutant les cendres du bois qui aurait dû être utilisé pour la crémation des corps, avec un ratio de 1:1 ce serait encore 8 fois plus grand que nécessaire.

·         le volume de cendres humaines que Kola assure avoir trouvé à Bełżec (3,350 mètres cubes) équivalent à 1,2 millions de personnes incinérées contre 430,000-500,000 admises aujourd’hui par les historiens officiels.

Curieusement, ni Kola ni les historiens officiels n’ont tiré les conclusions de  ces « découvertes » extraordinaires. Avec 1,2 millions de juifs gazés et incinérés, ce serait 2,5 fois plus de victimes qu’initialement annoncés à Bełżec, ce qui en ferait un « camp d’extermination » plus important qu’Auschwitz (900,000 de juifs « gazés »). Les organisations juives internationales, Israël et le professeur Kola auraient-ils gardé le silence sur une révélation aussi énorme, eux qui se démènent pour garnir leur macabre  et rémunératrice comptabilité ? Bien sûr que non. S’ils ont passé ces « découvertes » par pertes et profits, c’est que cela aurait attiré l’attention sur l’absurdité de ces évaluations bancales.

Poussons plus loin : si seulement 1/8ème des cendres enfouies à Treblinka sont d’origine humaine, que sont les 7/8èmes restants ? Et si l’on a mélangé des cendres humaines avec une telle masse de cendres non-humaines dans de telles proportions, quel en était le but ?  Surtout, qu’est-ce qui nous dit que ce 1/8ème n’est pas un effet d’optique résultant de la dissémination intentionnelle des cendres de quelques milliers de personnes mortes dans des conditions naturelles récupérées ici et là ?

A Treblinka, les « experts » officiels expliquent « qu’il est impossible de compter » tandis qu’à Bełżec les « experts » trouve deux ou trois fois plus de victimes que ce qu’on est censé y trouver dans des fosses huit fois trop grandes. Enfin, à Auschwitz, on mange des saucisses de juifs gazés à l’insecticide. Quand enfin on demande comment, sans budget, sans plan et sans ordres le gouvernement national-socialiste dirigé par Adolf Hitler a réalisé cette mystérieuse opération, les historiens juifs répondent : « parce que ça a eu lieu ». Et jettent en prison ceux qui posent des questions.

Restons sur un principe simple : pas de cadavre, pas de meurtre.

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Des bûchers ridiculement petits

Monument reconstituant un bûcher à Bełżec.


Il y a beaucoup de divergence sur le nombre de bûchers de crémation. Les témoins mentionnent 1-4, tandis que les SS lors de leur procès à Munich de 1963 à 1964 ont admis que seulement deux avaient été utilisés, chacun mesurant 5 m x 5 m. Le premier a été construit à la mi-novembre 1942 et le second au cours de la première semaine de décembre, mais les SS n'ont pas été interrogés sur l'emplacement des bûchers dans le camp et ils n'ont pas donné l'information.

 

Un personnel très réduit

 

Membres du personnel SS en 1942

En raison de la guerre, la direction du camp de Belzec se composait d'un petit nombre, entre 20 et 30, de fonctionnaires allemands de la SS et de la police. L'essentiel des unités de garde, entre 90 et 120 hommes, se composait soit d'anciens prisonniers de guerre soviétiques de diverses nationalités, soit de civils ukrainiens et polonais sélectionnés ou recrutés pour ce poste.

  

Des récit délirants

Page 1 (sur 33) du rapport de Kurt Gerstein, version du 4 mai 1945

 


 

Jürgen Graf : 

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Page 1 (sur 33) du rapport de Kurt Gerstein, version du 4 mai 1945

« 500 000 juifs sont censés avoir été assassinés à Bełżec entre mars et décembre 1942. Selon l'"historien" que vous avez lu, entre un et cinq Juifs ont survécu au camp, de sorte que la monstrueuse machine "nazie" s'est avérée particulièrement efficace à Bełżec. Le témoin vedette des meurtres de masse à Bełżec est naturellement Kurt Gerstein, qui, on s'en souviendra, a fait état de 20 à 25 millions de victimes de gazage, de tas de chaussures et de sous-vêtements de 35 à 40 m de haut et de 28 à 32 détenus par mètre carré dans les chambres à gaz. En dehors de Gerstein, il n'y a qu'un seul "témoin" de la chambre à gaz, un juif "polonais" nommé Rudolf Reder, qui est censé être l'un des un à cinq survivants du camp. Reder a cependant parlé de trois millions de victimes du gazage à Bełżec.

Pendant des décennies, l'arme du crime à Bełżec était censée être un moteur Diesel. Pendant la phase initiale de développement du fil de l'Holocauste, néanmoins, toutes sortes de variantes imaginables de ce récit étaient courantes, allant des plates-formes submersibles du Dr Stefan Szende aux wagons à chaux vive de Jan Karski, et même un four électrique mentionné par Abraham Silberschein. Tous ces récits ont depuis disparu dans la poubelle de l'histoire. » 

Les invraisemblables homicides au moteur Diesel

Robert Faurisson :

Les histoires qu’on nous raconte ici ou là sur des moteurs Diesel servant à asphyxier des gens sont invraisemblables; un moteur Diesel fournit surtout du gaz carbonique (CO2) et peu d’oxyde de carbone (CO) ; il fournit plus de CO, s’il est déréglé. Or, le CO2 n’est pas toxique comme le CO. Il provoque la mort dans la mesure où il finit par se substituer à la longue à l’oxygène dont nous avons besoin pour respirer. Les récits de Gerstein sont pleins d’invraisemblances : l’une de ces invraisemblances est qu’à Belzec, pendant des années, on aurait tué des centaines de milliers de gens avec un vieux moteur Diesel !

Même l’oxyde de carbone a des inconvénients. Ce gaz ne se répand pas de façon homogène dans un lieu donné. Il suit les courants d’air. Supposons un camion ou seraient enfermées plusieurs personnes à gazer. Le résultat pourrait être le suivant: selon le parcours de l’oxyde de carbone, certaines personnes seraient tuées, d’autres seraient simplement rendues malades, d’autres enfin seraient indemnes.

Les Allemands possédaient-ils tellement d’essence qu’ils pouvaient en consommer de cette manière ?

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Le rôle trouble des Arbeitsjuden


Selon l’historiographie officielle, les Allemands et leurs auxiliaires soviétiques obligeaient sous la menace des détenus juifs à les seconder dans leur tâche d’extermination. A ceux-ci, les Arbeitsjuden (Juifs de travail), sélectionnés à leur arrivée au camp, étaient confiés les travaux les plus durs. A Belzec, ils devaient notamment extraire les corps des  wagons et les dents en or des bouches des gazés. Dès leur tâche effectuée, ils étaient impitoyablement tués.

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La réalité : un camp de transit 

Carlo Mattogno : 

« De nombreux prisonniers juifs ont sans doute péri pendant ou après leur voyage en train vers les camps de l'Aktion Reinhardt. Il est également plausible que des centaines, voire des milliers de Juifs qui étaient trop faibles ou trop malades pour poursuivre le voyage vers l'est à partir des camps aient été tués par des fonctionnaires agissant de leur propre autorité. Ces prisonniers ont été enterrés dans les camps de l'Aktion Reinhardt. Cependant, il n'existe aucune preuve irréfutable que les camps d'Aktion Reinhardt étaient des centres d'extermination dans lesquels les Juifs étaient systématiquement mis à mort. 

Les camps de l'Aktion Reinhardt étaient des camps de transit plutôt que des camps d'extermination. Les études démographiques, les nombreuses déclarations de Heinrich Himmler, les rapports sur les transferts de Juifs des camps de l'Aktion Reinhardt vers Auschwitz et Majdanek, l'absence de preuves médico-légales crédibles que des exterminations massives ont eu lieu dans les camps, les preuves photographiques et techniques, l'impossibilité de se débarrasser d'un si grand nombre de corps en si peu de temps, le manque relatif de secret et de sécurité dans les camps et la petite taille des zones où les corps étaient censés être enterrés, tout cela indique que les camps de l'Aktion Reinhardt étaient des camps de transit. » 

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Belzec : Les 550 000 corps enterrés avant les exhumations-crémations ont commencé en décembre 1942. Deux fouilles depuis la guerre.

 

1.      Une enquête polonaise en 1945 a creusé neuf grands trous, jusqu'à 10m de large et 8m de profondeur. Les résultats : du sable mélangé à des cendres humaines intermittentes, ainsi que des os éparpillés. Aucune conclusion ferme ne peut être tirée, mais les termes "quelques restes carbonisés", "une partie d'un corps humain", "un crâne humain", "deux tibias et une côte", "un spécimen partiellement brûlé", etc. suggèrent quelque chose de l'ordre de centaines de corps, mais pas de centaines de milliers.

 

2.      Une enquête menée de 1997 à 1999, sous la direction d'Andrzej Kola, a permis de prélever 2 227 carottes de sondage selon un quadrillage. Ils prétendaient trouver "33 fosses communes", mais d'après leur taille, ils auraient pu contenir moins d'un quart des 550 000 corps qui y auraient été enterrés. De plus, leur contenu en cendres était sporadique, incohérent et "absolument incompatible" (Mattogno 2004 : 87) avec toute incinération de masse.

 

Les conclusions de Kola ont été publiées dans un petit livre, Belzec : Le camp nazi pour les Juifs à la lumière des sources archéologiques (2000). Il est peut-être révélateur que ce livre soit rarement cité, rarement discuté et pratiquement introuvable. Il semble qu'il n'apporte pas la preuve définitive que l'on espérait.

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Références :

Jürgen Graf, David Irving and the Aktion Reinhardt Camps, Inconvenient History, Vol. 1, No. 2, 2009// Peter Longerich, Holocaust : The Nazi Persecution and Murder of the Jews, Oxford University Press, 2010, p. 340. // Eugene M. Kulischer, The Displacement of Population in  Europe, Montreal : International Labour Office, 1943 // Carlo Mattogno : BelzecPropaganda, Testimonies, Archeological Research, and History : http://holocausthandbooks.com/index.php?page_id=9 // Renegade Tribune - The Other Holohoax Extermination Camp : http://www.renegadetribune.com/the-other-olohoax-extermination-camps                                                   _____________________________________________________________________ 




 

Chelmno

L’équivalent de la ville de Lausanne - 150 000 personnes - qui disparait dans les caves d'un manoir avant d'aller mourir dans d’énigmatiques fourgonnettes nazies. 

Collage ci-dessus, de gauche à droite, de haut en bas : 1) image d’avant-guerre  de ce qui est passé dans l’histoire soviétique comme étant le « château de Chelmno », en fait un plutôt de « manoir ». De la gare proche, les Juifs étaient emmenés en camion dans ce bâtiment abandonné et déjà en ruine, où dans les sous-sols (illustration 2), ils devaient se débarrasser de leurs effets personnels et se déshabiller. 3) photographie généralement présentée sans autre précaution comme montrant des déportés juifs « peu avant leur gazage ». 4) l’illustration 2 précitée, qui est un plan du sous-sols du manoir, montre le chemin que les détenus étaient censé déambuler avant de ressortir du bâtiment directement à l’arrière d’une « camionnette à gaz » accolée. L’image présentée ici de ce véhicule et de la manière d’opérer est purement d’illustration. 5) le manoir de Chelmno a été détruit en 1943. Seules subsistent aujourd’hui les fondations. 6) les détenus, qui étaient, on le raconte, asphyxiés aux vapeurs d’échappement du véhicule – une méthode, on le verra plus loin, qui ne marche pas -, étaient conduits en un trajet d’une dizaine de minutes à des « tombes forestières » à quatre kilomètres de là où leurs corps étaient mystérieusement incinérés (en effet l’histoire officielle ne témoigne pas de la présence de la quantité de bois nécessaire à de tels brasiers –. Image d’une fosse commune aujourd’hui. 7) image d’après-guerre du « grenier » du « château », sans toit et très ruiné, qui subsiste paraît-il encore aujourd’hui. La littérature grand public consacrée au camp de Chelmno  confond souvent cette bâtisse avec le manoir. C’est dans celle-ci qu’en janvier 1945 le groupe d’une cinquantaine de Juifs qui a aidé à la destruction définitive du camp aurait été assassiné.

 

Wikipedia :

 

« Les déportés doivent se déshabiller dans une pièce située à l'arrière du château, officiellement afin de prendre une douche et de permettre la désinfection de leurs vêtements; ils déposent leurs effets personnels et de valeur dans des boîtes remises à des auxiliaires polonais au début des activités du camp, puis à des Arbeitsjuden, qui notent les noms des propriétaires dans un carnet afin de rendre la situation plausible; ils empruntent ensuite un escalier menant à une cave, puis un long couloir, dont les entrées comportent un panneau vivement éclairé et indiquant « Vers les douches ». Le couloir débouche sur une rampe entourée d'une haute palissade, au bout de laquelle stationne un camion gris. C'est à cet endroit, à ce moment, que les déportés sentent le danger : ceux qui hésitent à emprunter la rampe y sont forcés par la violence. Lorsque trente à quarante personnes sont entrées dans le camion, les portes sont refermées et un ouvrier hpolonais, remplacé plus tard par un Arbeitsjude, raccorde le pot d'échappement à l'intérieur du camion via un tuyau souple : le chauffeur SS met ensuite le moteur en route pendant dix à quinze minutes, le camion restant à l'arrêt. »

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À Chelmno, dans l'ouest de la Pologne, 1,35 million de Juifs auraient été assassinés, selon le Jewish Year book (volume 47, p. 398) ; 400 000 selon Claude Lanzmann ; 300 000 selon Wolfgang Scheffler ; 150 000 selon Raul Hilberg. Le fait qu'aucun des auteurs ne fasse la moindre tentative pour prouver les chiffres cités est une pratique tout à fait normale. 

Les meurtres sont censés avoir été perpétrés exclusivement au moyen de "camionnettes à gaz". L'existence ou non de ces véhicules à gaz est à l'origine de l'existence et de la disparition de tout le camp d'extermination.

 

Chelmno — “Opérationnel“ pendant dix-huit mois 

“Commission principale pour l’enquête sur les crimes allemands en Pologne“ en mai 1945. 

Cette commission, mise en place par l’administration de l’Union soviétique, a produit un rapport, conservé dans les archives de Varsovie, et qui contenait des photographies d’une “camionnette à gaz“, encore utilisée aujourd’hui par les conteurs de l’Holocauste, y compris Yad Vashem d’Israël, entre autres. Selon le rapport communiste, Chelmno a été créé en décembre 1941 dans le but de tuer tous les Juifs dans la région du Warthegau. 

Les conteurs de l’Holocauste affirment que le camp a commencé ses opérations le 7 décembre 1941 et qu’il avait atteint son objectif en mars 1943, lorsqu’il a été fermé, avant d’être rouvert d’avril à juillet 1944 pour tuer des Juifs du ghetto de Lodz. 

Le camp de Chelmno a donc été opérationnel pendant dix-huit mois et demi au total. Apparemment, toutes les exécutions de gazage à Chelmno ont été faites avec trois “fourgonnettes à gaz“ qui ont été produites par le constructeur Magirus-Werke fonctionnant sur un moteur diesel de type Deutz. 

Les prisonniers auraient été déshabillés, divisés en groupes de 50, et faits marcher dans un couloir au sous-sol d’un bâtiment avant d’en ressortir pour monter à l’arrière d’une fourgonnette, après quoi les portes ont été fermées et le moteur diesel a démarré.

Après avoir été asphyxiés, un processus qui, selon les conteurs de l’Holocauste, a duré dix minutes, chaque chargement des corps aurait été conduit dans une forêt voisine et enterré. On prétend qu’entre 150 000 et 300 000 Juifs ont été tués de cette façon. Il y a un certain nombre de problèmes évidents avec cette histoire. 

Tout d’abord, comme mentionné ci-dessus, le gazage par les fumées de diesel est presque impossible, sauf dans les circonstances les plus extrêmes. 

De nombreux tests ont montré qu’une heure complète d’exposition aux vapeurs de diesel dans un espace confiné ne produit que des nausées et des maux de tête chez l’homme. L’affirmation selon laquelle 50 personnes pourraient être tuées en dix minutes par des vapeurs de diesel est tout simplement impossible. Deuxièmement, le synchronisme du processus d' «exécution » rend l’histoire de Chelmno impossible. 

Selon les conteurs de l’Holocauste, un seul camion pouvait être chargé à la fois. Déplacer un train rempli de gens de la gare, les mettre en place pendant la nuit (comme l’histoire le prétend), les déshabiller, les diviser en groupes de cinquante, les mettre dans les camionnettes, les gazer, conduire une demi-heure aux “tombes forestières“, décharger les corps et enterrer chaque chargement de camionnette prendrait collectivement plus de deux heures pour chaque 50 personnes ainsi tuées. 

En travaillant sur la revendication de 300.000 personnes tuées à Chelmo, cela signifie qu’un total de 12.000 heures seraient nécessaires d’opération continue pour assassiner et disposer de ce nombre de personnes. 

Il n’y a que 720 heures en un mois moyen de 30 jours, et, étant donné que Chelmno n’était censé être opérationnel que pendant 18 mois et demi (11 160 heures), cela aurait signifié que les “gazages“ avec les fourgonnettes diesel auraient dû continuer près de 24 heures par jour, chaque jour, pendant un an et demi, sans même une pause pour ravitailler les véhicules. 

Même s’il était possible de tuer des gens avec des vapeurs de diesel en dix minutes - ce qui n’est pas le cas - un tel taux de mise à mort serait tout à fait impossible à maintenir. 

Le personnel aurait besoin de pauses, le processus logistique nécessaire à l’entretien d’un tel système aurait été immense et les ressources consommées auraient été considérables. En outre, le travail et le territoire nécessaires pour enterrer et cacher 300 000 corps rendraient une telle mission presque impossible. Malgré tous ces problèmes évidents, Chelmno est devenu “célèbre“ en tant que “tout premier camp d’extermination“. 

Les “camions à gaz“ d’Ostrowski qui n’en sont pas 

Pire encore, le rapport communiste sur Chelmno, sur lequel repose la majeure partie de l’histoire, a été complètement discrédité en raison de sa revendication centrale de “fourgonnettes à gaz“. 

Selon ce rapport, ses commissaires ont reçu des informations selon lesquelles l’un des fourgons à gaz de Chelmno avait été trouvé dans l’enceinte d’une usine de la ville voisine d’Ostrowski. 

Des “témoins“ ont identifié la fourgonnette, qui a ensuite été photographiée et incluse dans le rapport de la commission. 

Ces photographies sont aujourd’hui les “preuves“ les plus largement diffusées et les plus utilisées des “fourgonnettes à gaz“ nazies et sont apparues dans des présentoirs et des sites Web mis en place par l’Israélien Yad Vashem et de nombreuses autres organisations officielles de conteurs de l’Holocauste.

 

Ci-dessus: Le “fourgon à gaz“ de Chelmno, comme l’ont affirmé de nombreux conteurs de l’Holocauste. Cette image est tirée du rapport soviétique d’après-guerre sur les “crimes nazis en Pologne“ et dit spécifiquement que cette camionnette, qui a été inspectée par leurs officiers, n’avait été identifiée que comme “similaire“ aux “fourgonnettes à gaz“ qui auraient été utilisés à Chelmno. Le rapport indique en outre que la fourgonnette a été inspectée et qu’aucun signe n’a pu être constaté qu’elle avait été adaptée ou utilisée pour tuer des gens. Néanmoins, cette photographie est toujours diffusée comme « preuve » de l’histoire du « fourgon à gaz ». Bien entendu, une véritable “fourgonnette à gaz“ n’a jamais été trouvée et aucune preuve solide n’a jamais été produite qu’elle existait réellement.

 

Une de ces photos a été reproduite dans le livre Hitler and the Final Solution (Gerald Flemming, University of California Press, 1987), avec la légende qu’il s’agissait d’un « camion à gaz » utilisé à Chelmno. Toutefois, la fourgonnette Ostrowski n’a jamais été une “fourgonnette à essence“, comme le révèle une lecture détaillée du propre rapport de la Commission. 

Les témoignages de “témoins“ polonais conservés dans les mêmes archives de la Commission principale (collection « Ob », dossier 271 et autres) n’ont fait qualifier la fourgonnette que de “similaire“. 

L’inspection du véhicule sur la photographie, effectuée le 13 novembre 1945 par le juge J. Bronowski, n’a trouvé aucune preuve pour démontrer que la fourgonnette avait été aménagée pour tuer des gens, et cette conclusion était contenue dans le rapport. 

Malgré l’inclusion de ces informations importantes, les photographies du véhicule Ostrowski sont maintenant entrées dans la légende de l’Holocauste en tant que “fourgonnettes à gaz“ nazies, et la photo de la camionnette Ostrowski est toujours utilisée comme exemple d’une “unité mobile de mise à mort“.

 


 Walter Rauff et les “camions à gaz“

 

Les seuls autres éléments de preuve pour les « fourgonnettes à gaz » sont deux documents, qui auraient été envoyés au SS-Obersturmbannführer Walter Rauff à Berlin, qui mentionnent spécifiquement le gazage dans des camions scellés. Ces lettres, dont les originaux n’ont jamais été trouvés, sont des contrefaçons évidentes. Trois indices importants indiquent que ces documents ont été falsifiés :

 

1.      Les signatures des auteurs présumés diffèrent considérablement des autres échantillons contemporains.

2.      Il existe de nombreuses copies différentes des lettres, chacune variant en contenu.

3.      Bon nombre des “copies“ contiennent également de l’allemand grammaticalement incorrect et de nombreuses fautes d’orthographe, qui ne sont pas vues dans les documents authentiques de l’époque.

Un exemple d’une faute d’orthographe est la faute d’orthographe du mot “Sauer“ (prétendument l’un des types de fourgonnettes à gaz utilizes. Le mot allemand correct est en fait “Saurer“).

 

De plus, le type de véhicule mentionné dans le document principal (daté du 5 juin 1942) comme étant une “fourgonnette à essence“ n’avait pas été produit par Saurer depuis 1912. C’était trente ans avant leur fabrication et leur utilisation présumées comme “fourgonnettes à gaz“ en 1941. 

Walter Rauff a toujours nié l’authenticité de la lettre et a été forcé de vivre sa vie en exil au Chili. Il n’a jamais mentionné les « fourgonnettes à gaz » qu’une seule fois, dans une déposition faite en 1972, dans laquelle il a dit qu’il avait « entendu » que les fourgonnettes ont été utilisées pour “l’exécution des peines et pour le meurtre de Juifs“. Il a également affirmé qu’on lui avait montré deux fourgonnettes de ce genre garées dans une cour, mais qu’il ne les avait jamais vues opérationnelles ou qu’il n’avait aucune idée de leur fonctionnement technique. 

Malgré cela, Rauff aurait été le cerveau du projet de “fourgonnette à gaz“, une allégation qu’il a toujours niée. Dans un climat de persécution, de faux témoignage, d’exagération et d’hystérie, ses dénégations ont été ignorées, tout comme le fait que le gazage par les vapeurs de diesel est pratiquement impossible.

 

Les fouilles médico-légales contredisent "l'histoire officielle" en trouvant des "crématoires" à Chelmno 

En 1986, le gouvernement polonais a autorisé le Dr Lucja Pawlicka-Nowak, au nom du Musée de Konin, à effectuer la première de trois grandes fouilles à Chelmo. 

La deuxième fouille a été réalisée en 1997, et la troisième en 2003 ("Gilead, I, and others, Excavating Nazi Extermination Centers", Present Pasts, \bl. 1, 2009). 

Outre un certain nombre d'objets personnels et de sites funéraires, ce qui est normal dans un camp de cette taille, l'équipe de fouille a également affirmé avoir trouvé les restes de huit structures qui, selon elle, étaient quatre "fours de campagne" et quatre "crématoires". 

Selon le rapport, dans "trois des quatre crématoires, on a également trouvé des fragments de tuyaux en béton, utilisés pour laisser entrer l'air frais dans le four, et des briques de chamotte". 

En outre, le rapport indique qu'il "semble que les crématoires étaient situés dans des structures fermées et que les fours de campagne étaient des fosses à ciel ouvert". 

Le problème majeur de cette constatation est, bien sûr, que nulle part dans l'histoire officielle, les déclarations de "témoins" ou les "aveux" liés à Chelmno, il n'est fait mention de crématoires. 

En fait, il a toujours été spécifiquement soutenu que le camp ne disposait pas de crématoires et qu'il s'appuyait plutôt sur l'incinération de corps dans des fosses à ciel ouvert. 

Cette contradiction a été ignorée par les conteurs de l'Holocauste, car elle signifie soit que les archéologues mentent, soit que l'"histoire officielle" du camp est fausse. 

Il est plus probable, bien sûr, que ce soit ce dernier cas, étant donné les autres vastes incohérences.

 

Les procès de Chelmno  

Il a fallu attendre 1962 pour que les premiers procès se déroulent sur le personnel de Chelmno SS. Lors de la procédure judiciaire de Bonn, 12 anciens membres de SS ont été mis sur le banc des accusés. 

Les “éléments de preuve“ contre eux consistaient exclusivement en un témoignage de “survivant“, et tous les accusés ont expressément nié toute participation à des meurtres de masse. 

La rareté de la preuve n’a révélé qu’aucun des accusés n’avait été reconnu coupable d’avoir exploité des “fourgonnettes à gaz“, et les principales accusations étaient soit d’avoir organisé des expulsions vers Chelmno, soit d’avoir simplement été membre du personnel du camp. 

À cet égard, le simple fait d’être présent a été considéré comme une “culpabilité“ d’avoir “aidé au meurtre de Juifs“. 

Parce que cette accusation était si vague, même le tribunal de lynchage ne pouvait pas trouver tous les accusés coupables, et trois ont été acquittés purement et simplement. Les neuf autres ont été condamnés à des peines d’emprisonnement allant de 13 mois à 13 ans, la durée de la peine étant un indicateur certain qu’aucun d’entre eux n’a été reconnu coupable de “meurtre de masse“. 

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Le mythe dans le mythe

 

Robert Faurisson  : 

Aujourd’hui, la fable des camions à gaz hitlériens n’a plus guère qu’une utilité : elle sert de succédané, d’ersatz ou de substitut à la fable des chambres à gaz hitlériennes. Quand ils se sentent en difficulté sur le chapitre de la chambre, les tenants de la religion de l’ « Holocauste» se rabattent parfois sur la thèse du camion. Comme il m’est arrivé de le dire sur le mode familier : « C’est ainsi qu’au musée des horreurs, à défaut de pouvoir nous enfermer dans la chambre à gaz, on nous promène en camion à gaz. » L’immense littérature holocaustique ne traite qu’en passant de ces camions à gaz et ne contient aucun livre sur le sujet. L’étude de P. Marais est le premier livre au monde qui traite des « camions à gaz ». Là encore, les révisionnistes font œuvre de pionniers.

 

Dans les cent quatre-vingt-sept pages du jugement de Nuremberg (TMI, I, p. 181-367), on ne souffle pas mot de ces camions et aucune juridiction française ou internationale n’a puni quelqu’un pour l’emploi de ces prétendus engins de mort. Par conséquent, sauf artifice de juge et sauf nouvelle bassesse de la justice française, la loi Fabius-Gayssot du 13 juillet l990 qui réprime la contestation du jugement de Nuremberg et la contestation des « crimes contre l’humanité » punis par de telles juridictions ne peut s’exercer contre le présent ouvrage de P. Marais.

 

Des procès soviétiques ou allemands ont bien été intentés à des soldats ou à des officiers allemands sur le sujet mais, lors de ces procès, aucun procureur, aucun expert, aucun tribunal n’a apporté la preuve de l’existence de ces camions. Cette existence était admise d’office ; elle était présupposée ou sous-entendue comme autrefois, dans les procès de sorcellerie, on admettait d’avance l’existence du diable et de ses instruments. Aucun accusé, y compris parmi ceux qui se sont prêtés au jeu de l’accusation, n’a fourni le moindre dessin. Je n’exclus pas qu’un tel dessin ait été obtenu, mais, dans ce cas, il faut croire que le résultat n’en a pas été assez convaincant pour qu’on le publie.

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Carlo Mattogno : 

« Maintenant que l'hypothèse d'une extermination massive a été écartée, il ne reste qu'une alternative : Chelmno était un camp de transit pour le transfert de juifs à l'est. » 

Thomas Dalton, auteur de Debating the Holocaust : 

« Conclusion : le "camp des mystères" (de Chelmno) reste largement mystérieux. Les fourgons, les corps, le combustible et les cendres ont pratiquement disparu, tout comme les preuves documentaires et photographiques. La prétendue méthode de gazage est littéralement insensée. Et nous pouvons facilement comprendre comment de telles histoires de "camionnettes à gaz meurtrières" ont pu exister. Il ne fait aucun doute que de nombreux Juifs sont passés par la gare de Chelmno, en sortant du ghetto de Lodz. Sans doute beaucoup d'entre eux sont-ils morts dans le ghetto et dans la région environnante. Peut-être que les corps ont été emmenés à Chelmno pour être éliminés. Peut-être que certains ont été enterrés, et d'autres brûlés sur des bûchers rudimentaires. Mais les preuves suggèrent que ce nombre était bien inférieur à 250 000 - peut-être quelques milliers tout au plus. »

 

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Un substitut à la fable des chambres à gaz


« C’est ainsi qu’au musée des horreurs, à défaut de pouvoir nous enfermer dans la chambre à gaz, on nous promène en camion à gaz.»

- Robert Faurisson

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Références :

Peter Winter, The Six Million – Fact or Fiction, chapitre 12, Chelmno and Gas Vans : https://archive.org/details/TheSixMillion-FactOrFiction/page/n17/mode/2up?q=chelmno // Jürgen Graf, Renegade Tribune, The jewish Lies of Gas Vans and Mass Shootings : http://www.renegadetribune.com/the-jewish-lies-of-gas-vans-and-mass-shootings // Blog Robert Faurisson, Préface à l'ouvrage de Pierre Marais "Les Camions à gaz en question" : https://robertfaurisson.blogspot.com/1992/07/preface-louvrage-de-pierre-marais-les.html // Pierre Marais, Les camions de gaz en question, Polémiques, Paris, 1994.// Santiago Alvarez, Renegade Tribune, The Gas Vans: A Critical Investigation : http://www.renegadetribune.com/the-gas-vans-a-critical-investigation  // Carlo Mattogno: Chelmno—A German Camp in History and Propaganda : http://holocausthandbooks.com/index.php?page_id=23 // Jürgen Graf - David Irving et les “camps de l’Aktion Reinhardt” : http://juergen-graf.vho.org/articles/index.html // Friedrich Paul Berg, Renegade Tribune, The Diesel Gas Chambers: Myth within a Myth : http://www.renegadetribune.com/holohoax-the-diesel-gas-chambers-myth-within-a-myth/ // Thomas Dalton, Renegade Tribune, The Great Holocaust Mystery: Reconsidering the Evidence : http://www.renegadetribune.com/the-great-holocaust-mystery-reconsidering-the-evidence/

 

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 Sobibór

250 000 personnes prétendument gazées avec des installations nazies après s’être introduites à l’intérieur d’une mystérieuse "Himmelstrasse" puis enterrées, déterrées et incendiées en plein air et ré-enterrées sans trace, après la guerre le personnel du camp pris dans un tourbillon d’accusations  fantaisistes, six squelettes juste retrouvés. 

Collage : de haut en bas et de gauche à droite. 1) image l’illustration de la crémation des corps sur des bûchers. 2) image d’époque du camp (vue partielle). Le camp de Sobibór mesurait 400 m sur 600 m. Il était entouré d'une double rangée de fil barbelé en partie cachée par des branches de pin. 3) Image d’époque de l’entrée du camp. Les Allemands ne s’efforçaient apparemment pas de rendre l’existence du camp secrète, pour preuve le haut panneau portant l’inscription « SS SonderKommando ». 4) Sobibór a donné lieu à plusieurs films de fiction notamment Les rescapés de Sobibór et Sobibór (en affiche), un navet russe. 4) image d’époque du personnel du camp. Les visages détendus paraissent incompatibles avec  le meurtre de masse auquel il est sensé participer. 5) trois gardiens allemands du camp. 6) des squelettes ont été mis à jour lors de fouilles récentes sur le site 7) vue shématique des fosses communes identifiées 

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Sobibór est mentionné dans un bref échange de correspondance entre Heinrich Himmler et l'inspecteur des camps de concentration, Richard Gluecks, à partir de 1943. Gluecks a suggéré de convertir Sobibór en "camp de concentration". Himmler abandonna ce projet après le 5 juillet 1943. Quel genre de camp était-ce donc ? Les exterminationnistes disent que c'était un camp d'extermination. Le nombre de victimes est généralement estimé entre 200 000 et 250 000. En ce qui concerne l'arme du crime, il a fallu des décennies pour que les cliques au pouvoir dans le monde décident laquelle c'était. L'un des témoins oculaires, un juif "soviétique" nommé Alexandre Pechersky, a décrit les meurtres de masse comme suit : 

« A première vue, lorsqu'on entrait, c'était comme une douche normale : des robinets d'eau chaude et froide, des lavabos... dès que tout le monde était à l'intérieur, les portes claquaient avec un grand bruit. Par des trous dans le plafond, une substance lourde et noirâtre se déversait en forme de spirale... » 

Tous les premiers témoins font en effet état de meurtres commis avec du chlore ou un liquide noir de mauvais augure, et presque tous les témoins s'accordent à dire que les chambres à gaz avaient des planchers démontables, ce qui permettait de retirer rapidement les corps après l'acte dans les espaces creux situés en dessous. 

Pour étouffer les cris de souffrance des victimes, les Allemands de Sobibór élevaient un troupeau d'oies [ !] qu'on faisait chanter (ou n'importe quel bruit fait par les oies), très fort, chaque fois que la substance noirâtre était introduite. Les historiens n'étaient pas très chauds sur cette version, ils l'ont donc rapidement transformée en fil de chambre à gaz. Selon Poliakov, l'arme du crime était un moteur Diesel ; Hilberg a remplacé le moteur Diesel par un moteur à essence ; l'Enzyklopaedie des Holocaust a finalement mis fin au débat en déclarant que l'arme du crime était un moteur Diesel, et cela règle le problème. 


 

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 Les oies de Sobibór

On raconte très sérieusement que pour étouffer les cris de souffrance de leurs victimes à Sobibór, les Allemands  élevaient un troupeau d'oies qu'ils faisaient chanter très fort à chaque fois qu’ils procédaient à une extermination.                                     

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Le manque d’ouvrages scientifiques. 

Les non-initiés supposeront sans doute qu'un grand nombre d'études scientifiques ont été réalisées sur le sujet de Sobibór. Or, ce n'est pas du tout le cas. La littérature concernant ce camp est peu abondante, et la plupart des livres existants sont des romans, voire des fictions. La liste des livres dans l'Encyclopédie de l'Holocauste ne comporte que quatre entrées sous la rubrique "Sobibór". Compte tenu de l'énormité des crimes attribués au camp par la version officielle de l'histoire, cela est pour le moins surprenant.


La première représentation du camp de Sobibór avec une quelconque prétention scientifique date de 1946. A cette époque, une documentation a été éditée en Pologne par N. Blumental, dont le titre, traduit en français, est "Documents et matériaux de l'époque de l'occupation allemande de la Pologne". Le premier volume de cette série contient 15 pages traitant de Sobibór : une page et demie d'introduction par l'éditeur suivie des récits de deux anciens détenus de Sobibór, Leon Feldhendler et Zelda Metz : 

« Le camp de la mort dans le district de Lublin a été créé au cours du premier semestre 1942. Le premier transport est probablement arrivé en avril ou mai. C'était un camp d'extermination typique - avec des chambres à gaz, l'incinération des cadavres en plein air, etc. En outre, l'une des spécialités de ce camp était l'élevage d'animaux et de volailles par le commandant du camp. Les détenus survivants ont déclaré que pendant les "Aktionen", les oiseaux étaient excités afin que leur tintamarre étouffe les cris des gens. Il y avait des ateliers dans le camp qui utilisaient des matières premières humaines, par exemple des cheveux de femmes pour la fabrication de matelas. Les biens des personnes assassinées ainsi que les "produits" du camp de la mort étaient expédiés en Allemagne. [...] Le 14 octobre 1943, les détenus se révoltèrent, comme ils l'avaient fait à Treblinka. [...] En raison de l'absence totale de tout document officiel, il est difficile de dire combien de personnes ont péri dans ce camp. [...] Les chiffres donnés par les témoins vont de un à 2,5 millions. Il est difficile de juger de cette question, mais si l'on tient compte du fait que le camp a fonctionné d'avril ou mai 1942 à octobre 1943, on peut fixer le nombre de personnes tuées à Sobibór sur toute la période d'existence de ce camp à environ un million. » 

Tant le caractère succinct de cette description que l'absence de tout détail significatif sont vraiment étonnants ! L'introduction ne dit rien sur le nombre et la structure des "chambres à gaz", rien sur la nature du gaz utilisé, alors que L. Feldhendler et Z. Metz, les deux témoins cités plus tard, affirment que les massacres ont été faits au moyen de chlore ! Selon Z. Metz, la chambre à gaz avait un plancher rabattable, permettant aux victimes de tomber directement dans les wagons sur rails situés en dessous. Zelda Metz affirme que le nombre de victimes était d'environ deux millions ! 

Comme on peut le constater, cette première description "scientifique" des événements de Sobibór diffère de la version actuelle sur deux points fondamentaux : la méthode de mise à mort utilisée et le nombre de victimes. 

Il a fallu 23 ans après la fin de la guerre pour qu'un historien publie quoi que ce soit sur Sobibór. Bien que ce ne fût pas un livre, il s'agissait au moins d'un article de 40 pages. Son auteur était Adam Rutkowski, membre du personnel de l'Institut historique juif de Varsovie. Le titre peut être traduit par "Le mouvement de résistance dans le camp d'exécution hitlérien de Sobibór". L'article de Rutkowski montre très clairement certaines contradictions et absurdités fondamentales qui réapparaissent dans toute la littérature ultérieure sur le camp. 

La version officielle de l'histoire du camp, toujours en vigueur à ce jour, a été essentiellement définie par le rapport de 1947 édité par la "Commission principale pour l'enquête sur les crimes allemands en Pologne" : Sobibór était un camp d'extermination pour les Juifs de divers pays européens. A l'exception d'un petit nombre de "juifs de travail", les nouveaux arrivants étaient immédiatement tués au moyen des gaz

d'échappement des moteurs dans un "bâtiment de gazage" subdivisé en plusieurs chambres. Les cadavres étaient brûlés sur des bûchers à ciel ouvert. Le nombre de victimes s'élève à environ 250 000.

Qu'est-il arrivé aux détenus des camps de transit Aktion Reinhardt de Treblinka, Belzec et Sobibor en Pologne ? Peut-on se fier à la version des alliés ? 

Les historiens de l'Holocauste affirment fréquemment qu'une masse de documentation existerait si les Juifs étaient transportés des camps d'Aktion Reinhardt vers "l'Est". Comme une telle masse de documentation n'existe pas, ils affirment que les Juifs ont dû être exterminés dans les camps d'Aktion Reinhardt. Ces historiens ne reconnaissent pas que l'Union soviétique aurait pu facilement détruire la documentation relative aux transports des camps de l'Aktion Reinhardt. 

Les preuves indiquent que les camps de l'Aktion Reinhardt étaient des camps de transit plutôt que des camps d'extermination. Les études démographiques, les nombreuses déclarations de Heinrich Himmler, les rapports de transferts de Juifs des camps d'Aktion Reinhardt vers Auschwitz et Majdanek, l'absence de preuves médico-légales crédibles que des exterminations massives ont eu lieu dans les camps, les preuves photographiques et techniques, l'impossibilité de se débarrasser d'un si grand nombre de corps en si peu de temps, le manque relatif de secret et de sécurité dans les camps et la petite taille des zones où les corps étaient censés être enterrés, tout cela indique que les camps d'Aktion étaient des camps de transit.

 

Sobibór dans le contexte de l'affaire Demjanjuk. 

Outre Thomas Kues, l'écrivain américain Paul Grubach a été le seul révisionniste à avoir abordé sérieusement le problème de Sobibór avant la publication [du livre de Carlo Mattogno et Jürgen Graf Sobibór: Holocaust Propaganda and Reality]. En août 2009, il a publié un excellent article intitulé "Le camp d'extermination nazi de Sobibór dans le contexte de l'affaire Demjanjuk". 

Le point de départ de l'argumentation de Grubach est une déclaration d'Elie M. Rosenbaum, le chef de la "section de chasse aux nazis" du ministère américain de la justice : 

"Des milliers de juifs ont été assassinés dans les chambres à gaz de Sobibór, et John Demjanjuk a contribué à sceller leur sort." 

Grubach explique qu'il n'y a aucune preuve de l'existence de chambres à gaz à Sobibór et qu'il est donc impossible d'accuser Demjanjuk d'avoir poussé ne serait-ce qu'un seul juif dans ces installations fantômes. Il aborde notamment les aspects suivants de la question : 

L'échec de la démonstration de l'existence des chambres à gaz par le biais d'enquêtes archéologiques. 

Les contradictions dans les témoignages concernant la méthode de mise à mort. 

Les contradictions dans les témoignages concernant le nombre, la taille, la structure et la capacité des chambres à gaz. 

Les contradictions dans les témoignages concernant l'élimination des cadavres. 

Les chiffres très divergents donnés par les différents auteurs et témoins concernant le nombre de victimes.

 

Des témoignages douteux 

Grubach résume ses conclusions de manière très convaincante : 

"Comme nous l'avons montré ici, l'histoire traditionnelle de l'extermination à Sobibór n'est étayée par aucun document authentique du temps de guerre, ni par aucune preuve médico-légale ou physique. Elle se fonde exclusivement sur les témoignages d'anciens détenus de Sobibór et sur les témoignages d'après-guerre d'anciens soldats allemands et ukrainiens qui ont servi à Sobibór. Il y a de bonnes raisons pour que même les plus fervents partisans de l'Holocauste soient très sceptiques à l'égard de l'extermination de Sobibór. Comme le philosophe écossais David Hume l'a souligné il y a des siècles, la véracité des témoignages humains est minée lorsque les esprits se contredisent, lorsqu'ils sont peu nombreux ou de caractère douteux, lorsqu'ils ont un intérêt dans ce qu'ils affirment, lorsqu'ils livrent leur témoignage avec hésitation ou, au contraire, avec des assertions trop violentes, etc. Comme nous l'avons montré ici, les "témoins oculaires" de Sobibór se contredisent, ils ont un caractère douteux, et ils ont un intérêt dans ce qu'ils affirment. Les fonctionnaires allemands qui ont "avoué" l'existence des "chambres à gaz" de Sobibór avaient un intérêt juridique à promouvoir cette fausseté. Ils ne pouvaient pas faire autrement dans le système judiciaire dans lequel ils étaient piégés. Les anciens détenus de Sobibór avaient un désir ardent de voir l’IIIe Reich tomber en déconfiture. L'ancienne détenue de Sobibór Zelda Metz l'a reconnu : 

Nous [les prisonniers] voulions tous nous échapper et raconter au monde les crimes de Sobibór. Nous pensions que si les gens étaient au courant, l'Allemagne nazie serait anéantie. Nous pensions que si l'humanité connaissait notre martyre, nous serions admirés pour notre endurance et vénérés pour nos souffrances. 

Beaucoup de ces survivants juifs de Sobibór (seuls 53 ont survécus selon l’histoire officielle, - Ed.) ont fait des témoignages vraiment douteux, et ils avaient un intérêt à promouvoir des histoires d'atrocités horribles à propos de Sobibór. Cela contribuerait à vaincre et à dégrader à jamais leur ennemi détesté, l'Allemagne national-socialiste, et ils en sortiraient comme des héros aux yeux du monde. Ces anciens détenus de Sobibór ont été mêlés aux haines germano-juives de la guerre, et leurs témoignages doivent être évalués en tenant compte de cela".

De son séjour à Sobibór Thomas Blatt a écrit deux œuvres publiées : « Sobibór : The forgotten revolt » (1995) et « From the Ashes of Sobibór » (1997).

 

« La preuve la plus concluante » 

Dans une note à son livre From the Ashes of Sobibór (1997), Thomas Blatt, le témoin clé du procès allemand Demjanjuk, fait l'aveu suivant: 

« La preuve la plus concluante que quelque chose de meurtrier se passait dans le Lager III était le fait que personne n'en est jamais sorti vivant, mais ces preuves étaient purement circonstancielles. Les nazis ont rendu difficile la collecte de toute preuve directe de ce qui était largement connu dans tout le camp. » 


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Un génocide de Sobibór ordonné sur un banc 

« Pour expliquer le manque de documentation, Hilberg prétend que les ordres d'extermination ont été donnés verbalement. Par exemple, il affirme qu'Odilo Globocnik, le commandant SS de la police du district de Lublin, a donné des instructions génocidaires au commandant de Sobibór, Franz Stangl, sur un banc de parc. Sa source est le livre de Gitta Sereny, Au fond des Ténèbres, dont l'inutilité totale est connue de tous ceux qui la connaissent. »

 -Jürgen Graf

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Un choix intrinsèquement inadéquat

 

Sur les cinq camps où le monoxyde de carbone aurait été utilisé pour tuer des détenus, la grande majorité des victimes auraient été tuées dans les camps d'Aktion Reinhardt. Le monoxyde de carbone aurait été généré par des moteurs Diesel pour tuer les victimes. Cependant, le moteur Diesel est un choix intrinsèquement inadéquat comme source de monoxyde de carbone. Le choix logique comme source de monoxyde de carbone aurait été le moteur à essence. Tout moteur à essence ordinaire aurait facilement donné aux Allemands une production de monoxyde de carbone dix fois supérieure à celle de tout moteur Diesel de taille similaire. 

Des "preuves" récentes grotesques 



Les recherches archéologiques menées à Sobibór depuis une vingtaine d’années par des équipes polonaises ou financées par Yad Vashem sur le site (pré)supposé d’un camp d’extermination ont débouché sur de maigres découvertes que s’est empressée de diffuser la presse internationale.

Exemples :

En 2014 – La publication juive Paris Match, qui reprend la presse mondiale, annonce à ses lecteurs la découverte des chambres à gaz de Sobibór :


"Merveilleux foutage de gueule ! Pas l’ombre d’une chambre à gaz nazie", commente Robert Faurisson sur son blog. Qui pousuit :

Bravo Paris Match ! Son ancienne devise : « Le poids des mots, le choc des photos ». Sa devise depuis 2008 : « La vie est une histoire vraie ».

Compliments au milliardaire Arnaud Lagardère.

Et attention ! Voilà 70 ans que nous attendions « une preuve, une seule preuve » de l'existence et du fonctionnement d'une seule de ces monstrueuses chambres à gaz nazies, de ces « usines de mort » héritières des « usines à cadavres » attribuées aux Boches par la propagande des vainqueurs de la Première guerre mondiale !

« Le délire de mentir et de croire s'attrape comme la gale ».

« La magique chambre à gaz ».

« Rien de tel que les yeux de la foi ».

« Attache-toi, Bouboule, tu t'envoles ».

« J'hallucine ».

« Par ici la monnaie, le flouze, la thune ».

« Arnaque first ».

« Vive Madoff ! Vive Elie Wiesel ! »

« Les chambres à gaz ? Hélas ! Il y a de plus en plus d'eau dans le gaz et, chez les historiens, de plus en plus de mou dans la corde à nœuds ».

« Il ne faut pas se demander comment, techniquement, un tel meurtre de masse a été possible. Il a été possible techniquement puisqu'il a eu lieu » (réponse de 34 historiens français, dont Fernand Braudel, à Faurisson, publiée dans Le Monde, le 21 février 1979).

Peace and Love ! Et tout pour Tsahal ! Shalom !    

En 2015 – Le journal juif Daily Mail rapporte à ses lecteurs que peu de temps après la Seconde Guerre mondiale des centaines de soldats russes et de Polonais ont fouillé les fosses communes du camp d’extermination de Sobibór ou "300 000 juifs ont été exécutés" à la recherche d’objets de valeur (probablement des dents en or). L’occasion de mettre en avant des images d’époque censées représenter des paysans polonais des environs du camp qui participaient à une "ruée sur l’or" ainsi que les nouvelles images des fouilles archéologiques. L’une d’elles montre des squelettes, six au total, présentés comme des corps de "victimes de l’Holocauste". L’article ne mentionne cependant rien de l’origine de ces corps ni ne donne de détails, à part que l’un deux présente un impact de balle.


En 2017 – La presse mondiale juive dont le Times d’Israël fait état de la découverte d’ "objets personnels appartenant aux victimes, qui auraient été jetés par leurs propriétaires obligés de se déshabiller et où elles étaient rasées avant d’être envoyés dans les chambres à gaz". 



Les trouvailles concernent le "pendentif d’une ado, peut-être liée à Anne Frank". Les chercheurs sont venus à la conclusion que cet objet pouvait avoir appartenu à une jeune fille, Karoline Cohn, née le 3 juillet 1929 à Francfort avant d’être déportée dans le ghetto de Minsk le 11 novembre 1941. Or, Anne Frank est elle aussi née en 1929, le 12 juin, à Francfort, en Allemagne. Peut-être les deux ados se connaissaient-elles ?

En tous cas, "après sa déportation, on ne sait que peu de choses sur le destin de Cohn. Elle a pu mourir dans le ghetto. Le pendentif aurait pu atteindre Sobibór entre novembre 1941 et septembre 1943, quand le ghetto a été fermé et que ses 2 000 de prisonniers juifs ont été envoyés vers le camp d’extermination."

Et le je journal de conclure :

« Des fouilles sont en cours à Sobibór depuis dix ans, et les chercheurs ont déjà creusé les fondations des chambres à gaz, le quai du train, et découvert des objets personnels appartenant aux victimes. » 

« Wojciech Mazurek, archéologue polonaise, Haimi et leur confrère hollandais, Ivar Schute, dirigent les fouilles sur le site du camp d’extermination nazi de Sobibór, où 300 000 personnes, majoritairement juives, ont été assassinées pendant l’Holocauste. »

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Thomas Dalton fait le point sur le nombre de morts : 

« Pendant ce temps, la dispute sur le nombre de victimes de Sobibor continue. Une note de bas de page dans le rapport Bem et Mazurek de 2012 indique que "les Allemands ont commis 300 000 meurtres ici" - un chiffre qui dépasse largement celui de l'USHMM et de Yad Vashem. D'autre part, des révisionnistes sceptiques tels que Graf, Mattogno et Kues affirment ceci : "Il faut souligner qu'il ne s'agit que d'une estimation approximative, mais nous estimons probable que le nombre de victimes de Sobibor soit de l'ordre de 10 000 morts" (2010 : 169). Un chiffre de 10 000 morts, bien qu'il soit encore tragique, réduirait Sobibor à une importance presque insignifiante dans l'histoire de l'Holocauste, et à une insignifiance virtuelle dans la tragédie plus large de la Seconde Guerre mondiale. Il suffit de dire que les preuves actuelles sont résolument en faveur des révisionnistes. »


Nombre de morts estimés pour Sobibor. Source : Sobibor: Holocaust Propaganda and Reality.

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Références :

Carlo Mattogno, Jürgen Graf, Thomas Kues: SobibórHolocaust Propaganda and Reality : http://holocausthandbooks.com/index.php?page_id=19 //Blog Robert Faurisson - "Paris Match" se surpasse dans le bobard des chambres à gaz de Sobibór !: https://robertfaurisson.blogspot.com/2014/09/paris-match-se-surpasse-dans-le-bobard.html // Renegade Tribune - Sobibór: Holocaust Propaganda and Reality : http://www.renegadetribune.com/sobibor-holocaust-propaganda-and-reality // Carlo Mattogno, Jürgen Graf, Thomas Kues: The “Extermination Camps” of “Aktion Reinhardt”—An Analysis and Refutation of Factitious “Evidence,” Deceptions and Flawed Argumentation of the “Holocaust Controversies” Bloggers : https://holocausthandbooks.com/index.php?page_id=28 // Jürgen Graf, Renegade Tribune, Raul Hilberg’s Incurable Holocaust Autism : http://www.renegadetribune.com/raul-hilbergs-incurable-holocaust-autism/

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Timbre-poste polonais. "Majdanek, camp de la mort 1941-1944"..


Majdanek-Lublin

Génocide sous les douches


2 000 000, puis 1 500 000, puis finalement beaucoup moins : 78 000 détenus seulement – asphyxiés dans pourtant de vraies douches aux échappements de moteur Diesel inoffensifs puis incinérés en plein air, le tout sans laisser de traces, les autorités reconnaissant enfin tout récemment que "Majdanek n'était pas un camp de la mort".


Collage : De haut en bas et de gauche à droite : 1) vue d’intérieur d’une fausse salle de douche destinée à gazer les détenus selon le récit exterminationniste. La salle est équipée d’une porte en bois et de fenêtres en verre aisément enfonçables  2) cheminée d’un four crématoire 3) coupure de journal d’époque faisant état de 1,5 millions de morts à Majdanek 4) image d’illustration. Le récit officiel de l’Holocauste prétend que des massacres tant au monoxyde de carbone qu’au Zyklon B auraient pris place dans d’authentiques installations de douche. 5) détenus du camp 6) le monument principal de Majdanek 7) vue d’une fosse commune 8) intérieur d’une chambre d’épouillage prétendue avoir servi de chambre à gaz.



Peter Winter, l’auteur de "The Six Million : Fact or Fiction" :

« Majdanek a été le premier grand camp de concentration nazi libéré par les alliés victorieux vers la fin de la Seconde Guerre mondiale. Lors de la capture par l'Union soviétique, la propagande originale a affirmé que deux millions de détenus avaient été assassinés dans cette «usine de la mort», qui aurait inclus sept chambres à gaz homicides. Cependant, Majdanek a été capturé en grande partie intact, et une grande quantité de documentation et de preuves matérielles aide à séparer la propagande de guerre de la réalité.  



Le nombre de morts de Majdanek a été constamment revu à la baisse. 42 200 est le chiffre total des morts avançé par l’Italien Carlo Mattogno, la direction du Musée du camp s’en tenant à 78 000.


En outre, ce même musée a également admis que cinq des sept «chambres à gaz homicides» initialement revendiquées n'ont jamais servi à assassiner qui que ce soit. Quelques auteurs de l'Holocauste, par exemple Gerald Reitlinger et Wolfgang Benz ne considèrent même pas Majdanek comme un camp d'extermination. 

Germar Rudolf a démontré de manière irréfutable que les locaux encore aujourd'hui présentés aux touristes comme des "chambres à gaz" n'étaient rien de tel. En fait, il s'agissait de chambres d'épouillage inoffensives conçues pour sauver des vies. »




Une énorme victoire pour les révisionnistes : la révision de 2012  

 

Peter Winter : 

« Dans une concession incontestablement très embarrassante, le Musée mémorial de l'Holocauste des Etats-Unis (USHMM) a finalement admis que le camp de Majdanek en Pologne n'était pas du tout un "camp d'extermination" mais simplement un "dépôt" et un "camp de travail" juif - exactement comme les révisionnistes l'ont toujours dit.

La dernière admission - publiée sur le site officiel de l’USHMM (capture d’écran ci-contre) - indique que :

« Bien que de nombreux universitaires aient traditionnellement compté le camp de Majdanek comme un sixième centre de mise à mort, des recherches récentes ont permis de mieux comprendre les fonctions et les opérations à Lublin/Majdanek. Dans le cadre de l'opération Reinhard, Majdanek servait principalement à concentrer les Juifs que les Allemands épargnaient temporairement pour le travail forcé. » (Centres d'extermination : "un aperçu". encyclopedia.ushmm.org).un aperçu". encyclopedia.ushmm.org).



Bien sûr, cet aveu va à l'encontre de décennies d'affirmations selon lesquelles Majdanek était un "centre d'extermination de masse" avec des "chambres à gaz" dont la seule fonction  était un "centre de mise à mort". 

Reconnaissant l'importance de cet aveu, l'USHMM poursuit en ajoutant, en guise d'explication, que le camp : 

« a parfois servi de lieu de tuerie pour assassiner des victimes qui ne pouvaient pas être tuées dans les centres de tuerie de l'opération Reinhard : Belzec, Sobibór et Treblinka II. Il contenait également un dépôt pour les biens et les objets de valeur pris aux victimes juives dans les centres de tuerie. » 

J'ai détaillé les absurdités et les mensonges du camp de Majdanek dans le chapitre 16 de "The Six Million : Fact or Fiction". 

Ces allégations scandaleuses comprenaient : 

- Que les prisonniers étaient douchés avant d'être gazés ; 

- Que les prisonniers ont été gazés au dioxyde de carbone ; 

- Que les chambres à gaz avaient des fenêtres en verre... 

Et bien d'autres encore. 




Il est maintenant clair que le poids de la logique et de la vérité a finalement forcé les conteurs de l'Holocauste à renoncer à ce mensonge, l'un des plus scandaleux et des plus faciles à réfuter, et à admettre que Majdanek n'était, comme cela était évident dès le début, qu'un camp de transit et de stockage qui fournissait également de la main d'œuvre pour l'usine d'armes et de munitions de Steyr-Daimler-Puch, située à proximité, entre autres. »


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Hitler réagit à la nouvelle de son camp de la mort

 

David Irving dans La Guerre d'Hitler écrit comment Hitler a réagi en voyant un titre de journal similaire à celui-ci le 27 octobre 1944 :

« Lors de la conférence de guerre qui eut lieu plus tard dans la journée, le chef de presse Otto Dietrich montra à Hitler un journal anglais qui rapportait une déclaration de Moscou selon laquelle 1 500 000 personnes avaient été liquidées dans un camp de concentration à Majdanek, que l'Armée rouge avait envahi, près de Lublin ; à titre de preuve, il y avait une photographie de piles de peignes bien rangées. La conférence sur la guerre se déroula dans le silence. Hitler mit le journal de côté avec colère : "C'est encore les "mains coupées" - de la pure propagande ennemie" (il déclara à Sonnleitner après la conférence que la propagande alliée avait prétendu en 1914 que les troupes allemandes marchant vers la Belgique avaient coupé les mains des bébés et suspendu les enfants à l'envers dans les cloches des églises en guise de claquettes). »




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Références :     

Blog Robert Faurisson – Une monographie révisionniste sur Majdanek : https://robertfaurisson.blogspot.com/search?q=majdanek // Carlo Mattogno, Renegade Tribune, Majdanek Concentration Camp: A Historical and Technical Study : http://www.renegadetribune.com/majdanek-concentration-camp-a-historical-and-technical-study/?doing_wp_cron=1611861030.3531739711761474609375 //Jürgen Graf, Carlo Mattogno: Concentration Camp MajdanekA Historical and Technical Study : http://holocausthandbooks.com/index.php?page_id=5 // The Writings of Peter Winter - Huge Victory for Revisionists as US Holocaust Memorial Museum Admits: Majdanek was not a Death Camp : http://peterwinterwriting.blogspot.com/2020/01/huge-victory-for-revisionists-us.html

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Stop germanophobie - Signature en ligne !

 Pétition en ligne
Signature en ligne de la pétition contre la germanophobie :
https://www.change.org/p/conseil-fédéral-stop-germanophobie

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Les moyens de guerre les plus barbares que le monde ait connus

 


Les moyens de guerre les plus barbares que le monde ait connus 


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Le saccage du Reich




Le saccage du Reich 

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Le meurtre de masse contre le peuple allemand





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L'impossible Treblinka - La population de Marseille incinérée sur un bûcher 


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TOP révisionnisme historique



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Hors-sujet V - Notre mouvement est Chrétien



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L’Union latine des sept pays


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