L'impossible Treblinka - La population de Marseille incinérée sur un bûcher
Treblinka
La population de Marseille incinérée sur un bûcher
800 000 personnes, - tenez-vous bien, l’équivalent de la population de Marseille -, asphyxiées au gaz d’échappement Diesel inefficace et enterrées sans trace avant d’être déterrées et incinérées sur des brasiers en plein air, puis leurs restes pulvérisés à la main et ré-enterrés, la scène du crime, grande comme un mouchoir de poche, recouverte depuis d’un socle en ciment pour "respecter" et ne pas contrôler.
Collage ci-dessus, images de haut en bas, de gauche à droite : une maquette du camp (vue d’artiste) figurant les fosses communes, maquette imaginée du bâtiment de gazage des détenus, coupure de presse alliée du 14 mai 1945 rapportant un bilan de sept millions de morts à Treblinka, détail de maquette montrant les rails sur lesquels étaient incinérés les gazés, image d’illustration des crémations, monument du camp symbolisant les grilles de crémation, monument du camp, photographie présentée comme illustrant les fosses communes, photographie aérienne témoignant de l’étroitesse du camp (les taches sombres sont les arbres).
L'impossible Treblinka
Les historiens reconnaissent universellement qu'aucun des camps de Sobibór, Belzec et Treblinka ne possédait de crématoire. Tous les autres camps de concentration allemands, comme Buchenwald et Dachau, disposaient de crématoires, même si des massacres n'y auraient pas eu lieu. Pourquoi les Allemands n'auraient-ils pas construit de crématoires dans les camps précités, puisque de tels crématoires auraient été bien plus nécessaires pour accomplir les massacres ?
Selon les historiens de l'Holocauste, les corps des Juifs gazés dans les camps de Chelmno, Sobibór, Belzec et Treblinka ont d'abord été enterrés dans des fosses communes. Les corps ont ensuite été déterrés en 1943 et brûlés à ciel ouvert sans laisser de trace.
Rachel Auerbach a eu une grande influence sur l’histoire de l’Holocauste. Elle a témoigné aux procès de Nuremberg et du procès d’Eichmann.
Bien que d'énormes quantités de combustible auraient été nécessaires pour incinérer les centaines de milliers de corps présumés, il n'existe aucun document ni aucun témoin qui se souvienne des grandes quantités de bois de chauffage qui auraient été nécessaires. Selon l'historienne polono-juive Rachel Auerbach, le combustible pour brûler les corps n'était pas nécessaire à Treblinka car les corps des femmes, qui avaient plus de graisse, servaient à allumer, ou plus exactement à faire des feux parmi les piles de cadavres...
Plus incroyable encore, elle écrit :
"On a également constaté que le sang était un matériau de combustion de première classe."
L'explication d'Auerbach sur la façon dont les corps ont été brûlés à Treblinka est totalement absurde.
Cette méthode est censée avoir été développée par un SS techniquement ingénieux du nom d’Herbert Floss, qui aurait découvert que les vieux corps des femmes obèses brûlaient mieux. Il a ensuite utilisé ces cadavres idéalement combustibles comme combustible pour les autres. Alors que bien sûr les corps ne brûlent pas d'eux-mêmes, en raison de leur forte teneur en eau (plus de 60%).
Les femmes "allume-feux" de Treblinka
Selon l'historienne juive polonaise Rachel Auerbach, le combustible pour brûler les corps n'était pas nécessaire à Treblinka car les corps des femmes, qui avaient plus de graisse, "servaient à allumer, ou plus exactement à faire du feu parmi les tas de cadavres...". Plus incroyable encore, elle a écrit que "le sang, lui aussi, s'est avéré être un matériau de combustion de première classe".
Au cours du procès de Jérusalem contre John Demjanjuk, Treblinka est revenu sous les feux de la rampe. Demjanjuk, un citoyen américain d'origine ukrainienne et travailleur de l'automobile, a été extradé des États-Unis en violation de toutes les procédures démocratiques vers Israël, où il a été traîné devant le tribunal sous le nom d'"Ivan le Terrible", meurtrier de centaines de milliers de personnes à Treblinka. Cinq "témoins oculaires" juifs ont juré l'avoir vu pousser des Juifs dans les chambres à gaz après leur avoir coupé les oreilles, tranché les seins des femmes avec une épée, et ouvert le ventre des femmes enceintes avec une épée. Demjanjuk a d'abord été condamné à mort, mais a été acquitté en appel pour manque de preuves, et libéré en septembre 1993 ; ce qui prouve une fois de plus la "crédibilité" de ces témoins oculaires.
Les études scientifiques
a) L'étude de Friedrich Paul Berg sur l'arme du crime
L'arme du crime présumée dans les quatre camps d'extermination purs (Treblinka, Belzec, Chelmno, Sobibór), le moteur Diesel, a été étudiée principalement par l'ingénieur germano-américain Friedrich Paul Berg. Berg montre clairement l'absurdité technique de la légende du moteur Diesel.
Il n'est bien sûr pas impossible, comme certains révisionnistes l'ont erronément rapporté, de tuer des gens avec des gaz d'échappement Diesel, mais c'est fastidieux et considérablement inefficace, car ces gaz d'échappement sont très mal adaptés comme armes de meurtre en raison de leur forte teneur en oxygène et de leur très faible teneur en monoxyde de carbone. Alors qu'un moteur à essence peut facilement produire des gaz d'échappement ayant une teneur en monoxyde de carbone de sept pour cent ou plus, un moteur Diesel ne peut même pas produire une concentration de monoxyde de carbone de un pour cent, même si le moteur est mal réglé pour augmenter la teneur en monoxyde de carbone. Ironiquement, l'introduction de gaz d'échappement Diesel dans une chambre remplie de personnes ne ferait que prolonger la lutte contre la mort des victimes, puisque ces gaz contiennent une teneur en oxygène d'environ 16%, ce qui est suffisant pour la survie. Au lieu d'introduire les gaz d'échappement, les bourreaux auraient pu simplement les laisser suffoquer. Dans tous les cas, tout l'oxygène disponible aurait été respiré avant que le monoxyde de carbone ne fasse effet !
Tout moteur à essence, sans parler des générateurs à gaz déjà mentionnés ailleurs, aurait été incomparablement plus efficace comme arme du crime qu'un Diesel.
Exactement comme l'histoire du Zyklon B, celle du Diesel a manifestement été inventée par des crétins techniques - au détriment des exterminationnistes, puisque l'histoire du moteur Diesel est dans les livres d'histoire, et qu'il n'y a aucun moyen de la faire disparaître.
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Robert Faurisson :
L’invraisemblable gazage au monoxyde de carbone
Les histoires qu’on nous raconte ici ou là sur des moteurs Diesel servant à asphyxier des gens sont invraisemblables; un moteur Diesel fournit surtout du gaz carbonique (CO2) et peu d’oxyde de carbone (CO) ; il fournit plus de CO, s’il est déréglé. Or, le CO2 n’est pas toxique comme le CO. Il provoque la mort dans la mesure où il finit par se substituer à la longue à l’oxygène dont nous avons besoin pour respirer. Les récits de Gerstein sont pleins d’invraisemblances : l’une de ces invraisemblances est qu’à Belzec, pendant des années, on aurait tué des centaines de milliers de gens avec un vieux moteur Diesel !
Même l’oxyde de carbone a des inconvénients. Ce gaz ne se répand pas de façon homogène dans un lieu donné. Il suit les courants d’air. Supposons un camion ou seraient enfermées plusieurs personnes à gazer. Le résultat pourrait être le suivant: selon le parcours de l’oxyde de carbone, certaines personnes seraient tuées, d’autres seraient simplement rendues malades, d’autres enfin seraient indemnes.
Les Allemands possédaient-ils tellement d’essence qu’ils pouvaient en consommer de cette manière ?
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b) L'étude d'Arnulf Neumaier sur les crémations
La manière dont les corps de Treblinka auraient été éliminés a été étudiée en détail par l'ingénieur Arnulf Neumaier. Neumaier suppose 875.000 corps, chiffre donné lors du procès Demjanjuk. Pour Belzec et Sobibór, où les crémations sont supposées avoir eu lieu sur le même modèle, le nombre de victimes mentionné dans ce qui suit doit être réduit en conséquence.
Pour brûler 875 000 corps en plein air, il aurait fallu au moins 200 kg de bois par cadavre, soit un total de 195 000 tonnes. Cela équivaut à une forêt de 6,4 km de long et 1 km de large. Les actions de crémation, qui sont censées avoir duré de début mars à fin août 1943, auraient nécessité 2 800 bûcherons par jour, en supposant qu'il faille un homme pour abattre un arbre, couper les branches et le scier. Selon la littérature de l'Holocauste, il n'y avait que 500 "juifs travailleurs" au total dans le camp, dont 25 seulement, selon un survivant de l'Holocauste nommé Richard Glazar, étaient chargés de couper du bois, c'est-à-dire moins de 1 1/2% du nombre requis. Un terrain déboisé de la taille correspondante n'existe pas, et n'existait pas, dans les environs de Treblinka ; le transport de 195 000 tonnes de bois vers le camp aurait certainement été noté dans les registres de la Reichsbahn, si le bois avait été apporté d'un autre endroit.
De plus, les 875 000 corps auraient laissé 2 900 tonnes de cendres en plus des 1 000 tonnes de cendres de bois. Ces cendres auraient contenu des millions de morceaux d'os non brûlés, en plus de 20 à 30 millions de dents - même si nous supposons que chacune des 875 000 victimes n'avait pas une dent en moyenne. Si les Soviétiques et les Polonais n'avaient trouvé qu'une fraction de ces cendres, os et dents, ils auraient mis sur pied une commission internationale avec une énorme propagande et le monde entier aurait eu la preuve de la bestialité allemande. Alors pourquoi ne l'ont-ils pas fait ?
De toute façon, l’affaire est entendue et, ainsi que le montrent leur ouvrage et cent autres preuves, Treblinka II n’a jamais pu être qu’un banal et modeste «Durchgangslager», c’est-à-dire un camp de transit pour juifs à transférer vers Majdanek, Auschwitz ou d’autres camps de concentration et camps de travail au sud ou à l’est.
Le problème des fosses communes
Germar Rudolf :
« Il faudrait nécessairement qu'il y ait d'énormes vestiges de fosses communes sur un site qui aurait assassiné dix fois la capacité du Los Angeles Colliseum, qui compte 90 000 sièges. Le radar à pénétration de sol peut détecter des perturbations du sol aussi énormes que celles dont les croyants de Cole et Treblinka affirment l'existence, mais le radar GPR / LIDAR de Caroline Sturdy Colls ne montre rien de tel.
Le balayage du radar à pénétration de sol de Caroline Colls prouve en fait que les "négateurs" ont raison. Dans le quadrant "camp d'extermination" du camp (en bas à droite), il n'y a tout simplement pas de marques signifiant des fosses communes massives qui auraient pu contenir 900 000 corps. À part quelques petites "marques de poche", le sol semble en fait remarquablement peu perturbé.
Les archéologues ont choisi de creuser dans des zones qui présentaient des perturbations du sol. Ils n'ont trouvé que des dents de requin fossilisées. Ne devraient-ils pas aussi être en mesure de trouver 25 millions 200 000 dents juives enterrées à Treblinka ?
Cette preuve tangible prouve que Cole a mal interprété les documents et que ses "mots de code" ne veulent rien dire alors que nous avons maintenant la preuve indéniable qu'il n'y a pas de perturbations massives du sol signifiant des fosses communes massives pour les 900 000 personnes qui auraient été gazées, enterrées, déterrées et ré-enterrées à Treblinka 2.
Pour clarifier les choses, il y a certainement des fosses communes à Treblinka, principalement pour ceux qui sont morts sur le chemin de Treblinka. Mais il est impossible que près de 900 000 personnes aient pu être enterrées dans ce terrain remarquablement peu perturbé.
Bien que Cole affirme que ces preuves physiques (ou le manque de preuves indiquant la présence de fosses communes) ne valent rien, il s'agit en fait des preuves les plus importantes, et non de documents mal interprétés, avec des mots de code ou des spéculations supplémentaires. Les preuves sont toujours là !
Le "Grand Rabbin de Pologne", avec un accent new-yorkais, refuse l'excavation et l'exhumation complète de Treblinka qui détruirait définitivement le mythe de "l'Holocauste" ou détruirait le "négationnisme".
Le rabbin ne comptait pas sur la technologie non invasive du LIDAR et du GPR pour voir à travers le sol, exposant ainsi le canular de Treblinka.
Où sont allés les Juifs ?
Où sont allés les Juifs après avoir transité par les districts du Gouvernement général et de la Warthegau ? Probablement vers l'un des 42 500 camps et ghettos récemment admis, et non vers les 7 000 que l'on pensait auparavant. »
À notre connaissance, le seul cas bien documenté d'incinération massive sur des bûchers en temps de guerre s'est produit après le bombardement de Dresde par les Alliés (13/14 février 1945). Pour prévenir l'apparition d'épidémies, 6 865 corps ont été brûlés en deux ou trois semaines sur l'Altmarkt de Dresde. La crémation se déroulait sur des grilles formées par la mise en place de rails de tramways sur des socles en brique sur lesquels les corps étaient empilés sur une distance de 2 à 2,5 mètres.
Les grilles étaient si basses qu'il n'y avait pratiquement pas de place sous les grilles pour le bois de chauffage, qui était de toute façon rare dans la ville complètement détruite. Les corps ont donc été trempés dans de l'essence ou du gazole, puis ils ont couvé pendant des heures. Cette crémation improvisée avait très peu de choses en commun avec l'incinération d'un corps dans un crématorium.
Comme seul un combustible liquide avait été utilisé, la crémation ne produisait pas de cendres de bois. En revanche, les os n'étaient (vraisemblablement) pas complètement brûlés et avaient encore une structure relativement grossière. Néanmoins, comme ils devaient être enterrés dans une fosse commune sur le Heidefriedhof de Dresde, aucun autre broyage n'était nécessaire. En tout cas, la crémation a rempli son rôle, car aucune épidémie n'a éclaté. La crémation des 6.865 corps a pris environ quatorze jours. Ainsi, seuls 500 corps environ pouvaient être incinérés par jour, alors qu'il y avait au total huit brasiers.
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Ossements pulvérisés à la main au maillet !
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Extraits :
Treblinka : un guide exceptionnel
Dans quelques conférences, dans une vidéo et dans ma correspondance, il m’est arrivé d’évoquer, à propos de Treblinka, le témoignage de Marian Olszuk mais, pris dans la tourmente du combat révisionniste, j’ai, pendant quinze ans, toujours remis à plus tard la rédaction d’un texte qui aurait porté sur ma rencontre avec cet exceptionnel témoin polonais. (…) En ce qui concerne Treblinka, j’ai encore en ma possession une trentaine de photographies qui témoignent de mon enquête sur ce haut lieu de la «Shoah».
Ma méthode d’investigation
Ma méthode habituelle d’investigation consiste d’abord à rassembler le plus de documentation possible sur un sujet donné, puis à m’extraire des écritures ou des archives chères à ceux que j’appelle «les historiens de papier» et, enfin, à me rendre sur le lieu de l’enquête. Là, après un examen prolongé du site, je recherche des témoins. Ces témoins, je les veux aussi proches que possible du lieu que j’ai examiné. Mon interrogatoire est, en général, direct et pressant; en tout cas, il n’est marqué d’aucune timidité. Des témoins de tous âges, de toutes conditions, de tous partis peuvent m’intéresser, mais l’expérience m’a enseigné que, dans ce type d’enquêtes, mieux vaut jeter son dévolu sur des témoins aussi peu intellectuels que possible et qui, à l’âge des faits, n’avaient pas plus de vingt ans. (…)
Un témoin d’exception: Marian Olszuk
A Treblinka, ma chance a été de découvrir un témoin et même un guide exceptionnel en la personne de Marian Olszuk. Agé de 63 ans, il était né, tout près de là, à Wolka Okraglia. A l’époque des faits qui nous intéressent ici, c’est-à-dire en 1942-1943, il avait 17 et 18 ans. On ne pouvait guère imaginer un homme qui eût été plus proche des deux camps de Treblinka. De décembre 1941 à juillet 1944, Treblinka I, tout proche d’une gravière fournissant la ville de Varsovie, avait servi de camp pénitentiaire principalement à l’usage de Polonais, juifs ou non juifs, coupables d’infractions aux lois de l’occupant. Du 23 juillet 1942 au 14 octobre 1944, Treblinka II avait été un camp réservé aux juifs, principalement aux juifs en provenance de Varsovie; la légende allait en faire – dans le jargon des Alliés – un «camp d’extermination», cette extermination d’au moins 870 000 juifs s’étant étendue sur une durée d’environ neuf mois (de la fin de juillet 1942 au mois d’avril 1943, d’après l’Encyclopedia of the Holocaust). Membre d’une famille de huit enfants, Marian Olszuk travaillait tous les jours à la gravière avec d’autres Polonais relativement libres de leurs mouvements ou avec des prisonniers que surveillaient soit des soldats allemands armés de pistolets, soit des gardes ukrainiens munis de carabines. Son père était bûcheron. Le soir, le jeune homme revenait à la ferme familiale, située, par la route, à deux kilomètres au nord de Treblinka II. Souvent il se rendait à la pièce de terre que son père possédait à 300 mètres de l’enclos de fil de fer barbelé qui délimitait, à l’est, le «camp d’extermination». La terre étant pauvre, on y cultivait le seigle et le lupin. Passant au pied d’une tour de guet, il arrivait au jeune Marian d’engager la conversation avec les sentinelles. Peu farouches, ces dernières lui jetaient parfois des cigarettes du haut de la tour. Le camp n’occupait qu’environ 13 ou 14 hectares (à comparer avec les 388 hectares du camp d’Oranienburg-Sachsenhausen situé au nord de Berlin!). En 1942-1943, l’espace occupé par le «camp d’extermination» était à peu près dépourvu d’arbres ou de gros buissons et, par conséquent, les paysans du coin ou les promeneurs pouvaient à loisir, à travers les barbelés, contempler aussi bien les prisonniers et les gardes que les différents bâtiments d’un camp qu’on prétend aujourd’hui avoir été ultrasecret. Quand on faisait face à l’entrée du camp, la ferme de la famille Olszuk se situait à deux kilomètres à gauche tandis que leur pièce de terre se trouvait, tout de suite à droite, à trois cents mètres de la limite orientale. Marian Olszuk passait donc à proximité du «camp d’extermination» tous les jours où il allait travailler à la gravière, et, quand il travaillait à la pièce de terre familiale, il était également tout près dudit «camp d’extermination».
Il n’était évidemment pas question pour le jeune homme de pénétrer dans l’enceinte du camp, mais, à l’entrée, chaque jour, des gens se pressaient en foule qui, ostensiblement, pratiquaient troc et marché noir. Des trafiquants venaient de Varsovie pour vendre de la marchandise aux gardes ukrainiens qui, à leur tour, traitaient avec les prisonniers juifs auxquels ils vendaient de la nourriture, y compris, pour ces juifs mêmes, jambons et saucisses, ce qui, à l’époque, constituait un luxe. L’existence des deux camps de Treblinka était de notoriété publique et les détenus juifs passaient, dans l’ensemble, pour ne manquer ni d’argent, ni d’or, ni de bijoux.
Dans ce «camp d’extermination», Marian Olszuk avait-il jamais relevé les signes d’une activité criminelle de la part des Allemands? La réponse était non. Une fois, il avait observé un grand feu dans le camp mais il s’agissait d’un feu de vêtements formant une masse de près de quatre mètres de hauteur. Jamais il n’avait vu brûler de cadavres. Cependant, à plusieurs reprises, il avait entendu, pendant la nuit, des cris et des lamentations de femmes et d’enfants qui parvenaient jusqu’à la ferme. Parfois, le camp dégageait d’immondes puanteurs. Notre témoin avait-il entendu parler de chambres à gaz? Oui, il avait rencontré un Russe qui lui avait dit que les Allemands utilisaient «une chambre à gaz mobile montée sur rails» (sic). C’est près de Treblinka I que les Allemands fusillaient les condamnés à mort. Dans ses déplacements, il arrivait fréquemment au jeune ouvrier-paysan de croiser des juifs logés dans le camp de Treblinka II; ces juifs vaquaient à divers travaux dans les bois sous la surveillance de gardes ukrainiens qui, d’ailleurs, souvent désertaient. La nourriture était exécrable. Son propre travail consistait, pendant huit heures par jour, à charger à la pelle des wagonnets (ou des wagons?) de sable ou de gravier. En hiver, le froid rendait le travail particulièrement pénible. Personnellement, il n’avait jamais vu tuer un juif. Un jour, son père avait fourni des vêtements à un juif qui s’était échappé du camp. Il arrivait des convois de juifs tous les jours. Finalement mobilisé pour aller travailler en Prusse, Marian avait pris la fuite, s’était réfugié à Varsovie et n’était revenu à la ferme qu’après la fermeture des camps. Il se souvenait qu’on avait alors ouvert des charniers contenant des restes humains, de l’or et des rubis.
Le plus stupéfiant est qu’à la libération et après la guerre aucune commission d’enquête, aucune autorité administrative ou de police ne l’avait interrogé sur les événements survenus à Treblinka. Il y avait eu des commissions d’enquête, dont sont connus les extravagants rapports, dignes en tout point du rapport soviétique sur Katyn (URSS-008), mais aucune de ces commissions n’avait auditionné la famille Olszuk. Encore en 1988, la guide officielle du camp, Maria Pisarek, nous affirmait froidement: «Personne dans les environs ne vous parlera». Or Marian Olszuk allait, comme on le voit, nous parler longuement et, à la différence d’un autre témoin polonais, sobrement.
Les fausses dimensions du «camp d’extermination»
(…) C’est lors de cette marche que notre homme nous avait fait une révélation: le camp avait été, en réalité, de dimensions plus réduites qu’on ne le disait aujourd’hui aux touristes; en effet, après la guerre, en 1947, les autorités avaient racheté à plusieurs propriétaires leurs pièces de terre respectives afin d’en agrandir le «camp d’extermination». Une première famille ainsi expropriée avait été celle de Franciszek Pawlowki et la seconde, celle des Olszuk qui, pour leur part, n’avaient eu à concéder qu’une pièce de 2 500 m2. Sur le dessin ci-joint, dressé par Tjudar Rudolph avec les moyens du bord, on notera la différence de superficie entre le camp réel de 1942-1943, soit environ 14 hectares, et le camp pour touristes de 1988, soit environ 23 hectares. Au terme de cette visite des lieux, Marian Olszuk avait pris congé de nous et, pour notre part, nous nous étions remis à notre besogne d’arpentage quand soudain avait surgi, à vélomoteur, le directeur-adjoint du musée de Treblinka. Nous apercevant, il était entré dans une vive colère, nous déclarant que jamais de sa vie il n’avait vu pareille opération. J’apaisais son ire en lui faisant valoir que, précisément pour mieux mesurer ce qu’avaient enduré les prisonniers de Treblinka, il nous avait paru nécessaire de mesurer les dimensions du camp lui-même. (…)
(…) Les récits des deux fonctionnaires revêtaient un aspect involontairement burlesque: à lui seul, le cadre dans lequel ils s’exprimaient avec, par exemple, les dimensions si modestes du «camp d’extermination» infligeait un démenti aux aberrations de la thèse officielle qu’ils nous débitaient et selon laquelle, par exemple, les Allemands avaient tué là et enterré sur place, en l’espace de neuf mois, environ 870 000 personnes (W. Trebicky, pour sa part, en tenait pour le nombre, bien supérieur, de 1 500 000 victimes!).
Notre intention était de revenir voir Marian Olszuk pour la troisième fois car il nous restait toute une batterie de questions à lui poser. (…) Mais, à défaut de revoir Marian Olszuk, j’allais retrouver la trace d’un rare oiseau: le fameux chauffeur de locomotive filmé par Claude Lanzmann dans Shoah.
L’aveu spontané du chauffeur de locomotive
L’un des plus importants témoins de Claude Lanzmann n’était autre que Henryk Gawkowski, qu’on voit dans le film Shoah, revêtu de sa tenue de chauffeur, coiffé d’une casquette et conduisant une locomotive comme au temps où il transportait des convois de juifs de Varsovie à Malkinia, puis à Treblinka. Dans une scène de reconstitution, il se penche à la portière de la locomotive et, se passant le doigt sur la gorge, il fait en direction des juifs un geste qui signifie qu’on va leur couper le cou (pour la transcription des dialogues et l’indication des jeux de scène, on consultera Claude Lanzmann, Shoah, préface de Simone de Beauvoir, Fayard, 1985, p. 47-49).
Je retrouvais notre homme à Malkinia, où il était né en 1922. Les matins, l’interrogatoire se déroulait sans trop d’encombre mais, les après-midi, sous l’effet de la boisson, H. Gawkowski devenait intarissable et se révélait incapable de répondre aux questions posées. Il dissertait de tout comme s’il avait tout vu. Il ne se souvenait pas du nom de Lanzmann mais peut-être ce dernier, cédant à son habitude, s’était-il présenté à lui sous un nom d’emprunt et s’était-il, en outre, paré de titres universitaires usurpés (Ecrits révisionnistes (1974-1998), 1999, II, p. 746). En revanche, H. Gawkowski ne manquait pas d’évoquer avec émotion le responsable du film, un Français, nous confiait-il, qui lui avait fourni de si bons «vins espagnols» (sic, probablement pour: «vins français»).
Par chance, un matin, alors qu’il nous récitait des histoires manifestement lues et non vécues, je l’avais interrompu pour lui poser à brûle-pourpoint une question qui allait faire s’écrouler l’édifice de ses hâbleries ainsi que de ses régurgitations d’autodidacte. Je lui demandais: «Mais alors, vous avez eu conscience d’amener ainsi à leur mort tous ces juifs, jour après jour, et cela pendant près de quinze mois?» La réponse allait fuser: «Non, bien sûr que non!» Je lui demandais à quel moment il en avait pris conscience. Réponse: «Après la guerre». Autrement dit, pour reprendre l’apologue du révisionniste américain Arthur Robert Butz, H. Gawkowski faisait partie de la cohorte de ceux qui, sur le moment, n’avaient pas vu «l’éléphant». Il ne l’avait ni vu ni entendu barrir mais, bien plus tard, il avait acquis la conviction que, dans ce coin particulier de Pologne, un monstrueux pachyderme avait, pendant près de quinze mois, secrètement hanté les lieux, semant la terreur sur son passage. A croire que «l’éléphant» était magique, à moins qu’il n’eût été un mirage!
Le «camp d’extermination» était bien un camp de transit
Pour se rendre compte que les prétendues chambres à gaz d’Auschwitz n’ont pas pu exister, il suffit de voir la chambre à gaz, bien réelle, celle-là, d’un pénitencier américain. Pour comprendre que les prétendus rendements attribués aux fours crématoires d’Auschwitz sont fictifs, il suffit de s’informer sur les rendements, bien réels, ceux-là, des fours crématoires qui sont en usage aujourd’hui. Pour constater de visu que l’histoire attribuée à Anne Frank fourmille d’impossibilités physiques, il suffit de visiter, les yeux ouverts, la «Maison Anne Frank» à Amsterdam. De la même façon, pour mesurer à quel point les prodigieuses exterminations et inhumations secrètes de juifs à Treblinka ne sont qu’un mensonge, il suffit de parcourir aujourd’hui le quadrilatère formé par le camp et d’en noter les modestes proportions (environ 248m x 372m x 468m x 472m).
Les révisionnistes peuvent évidemment accumuler cent autres arguments, passer en revue les «témoignages», les «aveux», les «confessions», les procès et les livres où, à chaque instant, pour un lecteur tant soit peu attentif, les accusations juives concernant ce camp se révèlent illusoires et fausses. On peut se divertir à constater que, déjà au procès de Nuremberg, en 1946, le président du tribunal, aidé du procureur soviétique, se précipitait pour empêcher le témoin Samuel Rajzman de déposer une pièce censée représenter le plan de Treblinka; il faut dire qu’à l’époque ce juif parlait de «chambre à gaz» (au singulier) et de «four crématoire» là où il est admis qu’il n’y a jamais eu de four crématoire et là où, selon un document ayant, pour le tribunal, valeur de «preuve authentique», il y avait eu des «chambres à vapeur» et non pas une ou des «chambres à gaz» (IMG, VII, p. 357 et document PS-3311). On peut rappeler que l’Allemand Kurt Franz, sur les apparentes confessions duquel on se fondait pour renforcer la thèse des gazages de Treblinka, avait fini par écrire en toutes lettres: «Je n’ai rien eu à faire avec les gazages de juifs ni à Treblinka ni ailleurs» (Ecrits révisionnistes, op. cit., II, p. 753-755). On peut s’amuser à reproduire côte à côte des plans juifs ou communistes de Treblinka II et démontrer que tous sont, en ce qui concerne les bâtiments d’extermination, remarquablement vagues et, en outre, incompatibles entre eux. Et ainsi de suite.
(…)
De toute façon, l’affaire est entendue et, ainsi que le montrent leur ouvrage et cent autres preuves, Treblinka II n’a jamais pu être qu’un banal et modeste «Durchgangslager», c’est-à-dire un camp de transit pour juifs à transférer vers Majdanek, Auschwitz ou d’autres camps de concentration et camps de travail au sud ou à l’est.
Le gros mensonge de Treblinka devrait donc aller rejoindre, dans les poubelles de l’histoire, l’énorme mensonge d’Auschwitz.
Source : Blog inofficiel Robert Faurisson https://robertfaurisson.blogspot.com/search?q=treblinka
"2 764 0000 Juifs ont été tués à Treblinka", témoignage de Samuel Rajzman au Tribunal Nuremberg, qui était le seul "survivant" à témoigner à la barre.
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Les trois fouilles de Treblinka
Thomas Dalton résume l’état des recherches. En tous trois maigres fouilles ont été réalisées dans ce camp dont l’histoire officielle affirme que près de 900 000 y sont mortes.
1. Enquête soviéto-polonaise (1944). Menée peu après la prise du camp par les Russes en août 1944, cette équipe a découvert trois fosses communes, avec un grand total de quelque 300 cadavres. Sur la base de ces maigres preuves, l'équipe a déclaré que le camp était "une énorme usine de mort", et a annoncé qu'"environ trois millions" y sont morts. Cette étude n'est guère crédible, pour des raisons évidentes.
2. Enquête polonaise (1945). Un an plus tard, une autre équipe polonaise a analysé le site, pendant cinq jours. Des restes humains n'ont été trouvés qu'au cours d'une seule journée de fouille, déterrant "une grande quantité de cendres ainsi que des restes humains [non brûlés]". Encore une fois, c'est une enquête quantitative pratiquement inutile.
3. C. Sturdy Colls (2007-présent). Récemment, une archéologue britannique d'une vingtaine d'années, Caroline Sturdy Colls, a été en quelque sorte enrôlée pour mener la première enquête sur Treblinka depuis les années de guerre. Son travail, appelé "première fouille jamais réalisée" du camp, avance à petits pas depuis sept ans maintenant, avec très peu d'analyses à l'appui. Elle n'a publié aucun livre à ce sujet, aucun document quantifiant les résultats, et pratiquement rien de substantiel. Son principal objectif semble être de produire des reportages et des "documentaires" sur le camp qui promeuvent le point de vue traditionnel.
Recherches récentes infructueuses
Le site Démocratie Participative , au ton amusant, fait le point sur les recherches les plus récentes, celles de C. Sturdy Colls :
« En 2014, les médias britanniques cherchaient encore des « preuves » à Treblinka bien que tout était censé être « définitivement prouvé » par ailleurs. Une équipe d’experts annonçait avoir trouvé le Graal : un reste de chambre à gaz frappé d’une étoile de David. Des « experts » menés par la Britannique Caroline Sturdy Colls assuraient que les Allemands utilisaient de telles étoiles pour faire passer les chambres à gaz « pour des bains rituels juifs ».
Et puis, peu de temps après, des révisionnistes firent observer que non loin de là, une usine polonaise fabriquait depuis longtemps des tuiles avec ce sigle.
On entendit plus jamais parler de la « preuve définitive » que les médias britanniques avaient triomphalement présentée aux foules quelques mois plus tôt.
Toujours au même moment, Caroline Sturdy Colls prétendit apporter la preuve de la présence de fosses communes géantes à Treblinka où étaient censées être enterrées les cendres de 800,000 juifs « gazés ». Au terme d’un laborieux compte rendu intitulé « Que la terre ne dissimule pas mon sang » : approches médico-légales et archéologiques pour localiser les restes des victimes de l’Holocauste », Colls admet platement que la tâche est « impossible ».
Il faut dire qu’à Treblinka les choses sont simplifiées par le fait que les organisations juives interdisent aux scientifiques d’y réaliser des fouilles.
Caroline Sturdy Colls s’essaie dans cette étude à un étrange exercice consistant à fouiller le site de Treblinka sans le fouiller. En résulte une étude dépourvue de chiffres et un très long récit romancé au sujet de cette absence de chiffres qu’elle présente comme une preuve définitive.
En 2010, Richard Wright s’est penché sur la question de savoir « où sont les corps » en relation avec les génocides des XXe et XXIe siècles. C’est une question qui est souvent posée à propos de l’Holocauste, parfois par les proches de ceux qui ont été tués, parfois par des individus curieux, mais aussi, plus communément, par ceux qui nient que les nazis aient perpétré des meurtres de masse. Il est certain que cette question a été posée à plusieurs reprises à propos de Treblinka et que l’un des principaux objectifs de la recherche archéologique était de tenter d’y répondre. La réponse de travail élaborée par l’auteur est que, dans certains cas, nous ne savons tout simplement pas où se trouvent les corps et peut-être que cela ne sera jamais le cas. Cependant, dans d’autres cas, la réponse éloquente de Wright à sa propre question – « dans le sol » – peut également être fournie.
Il est probable que des méthodes d’élimination des corps aussi diverses existent et varient sur d’autres sites de l’Holocauste en Europe. Les archéologues doivent être réalistes quant à la mesure dans laquelle ils peuvent contribuer aux discussions sur le nombre de victimes. À la lumière de ce qui précède, les archéologues ne doivent pas essayer de faire de telles estimations, mais plutôt expliquer quels sont les vestiges qu’il est ou a été possible de localiser et ceux qui ne le sont pas. Le fait qu’il n’est pas possible de localiser les vestiges indique en soi que les auteurs de ces crimes ont tenté de les cacher, que le paysage a changé et que les équipements de détection sont actuellement limités, autant de facteurs que les archéologues engagés dans ces recherches devraient clairement préciser.
Voici la fabuleuse théorie de cette « experte » britannique : « si l’on ne trouve rien quelque part, c’est la preuve qu’il s’y est passé quelque chose car on aurait forcément dû y trouver quelque chose. »
C’est le sophisme utilisé par le juif Vidal-Naquet après avoir été acculé par le Professeur Robert Faurisson : « Il ne faut pas se demander comment techniquement un tel meurtre de masse a été possible. Il a été possible techniquement puisqu’il a eu lieu. Tel est le point de départ obligé de toute enquête sur ce sujet. »
Avec une telle méthodologie, vous pouvez dès demain creuser dans votre jardin, ne rien y trouver et déclarer publiquement que c’est la preuve irréfutable que les Nazis y ont tué 10,000 juifs. Vous serez probablement invité par la BBC pour un documentaire et Le Monde s’en prendra à tous ceux qui vous accuseraient de mentir. »
Références :
Carlo Mattogno, Jürgen Graf: Treblinka—Extermination Camp or Transit Camp? :http://holocausthandbooks.com/index.php?page_id=8 // Radio Christanity – « Holocaust Deprogramming Course » // Blog Robert Faurisson : Treblinka : un guide exceptionnel : https://robertfaurisson.blogspot.com/search?q=treblinka //Wear’s War- The Trouble With Treblinka: German Guilt Is Affirmed By The Improbable, The Impossible, An Ever Shrinking Death Toll & Rising Compensation Bill : https://wearswar.wordpress.com/2018/12/01/the-trouble-with-treblinka-german-guilt-is-affirmed-by-the-improbable-the-impossible-an-ever-shrinking-death-toll-rising-compensation-bill // Renegade Tribune - Treblinka: Extermination Camp or Transit Camp? : http://www.renegadetribune.com/treblinka-extermination-camp-or-transit-camp // Démocratie Participative : La preuve définitive des chambres à gaz découverte à Treblinka : https://democratieparticipative.icu/la-preuve-definitive-des-chambres-a-gaz-decouverte-a-treblinka //
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