Robert Faurisson : L’inéluctable victoire du révisionnisme
Robert Faurisson :
L’inéluctable victoire du révisionnisme
Sur le plan historique et scientifique, le révisionnisme de l’histoire de la Seconde Guerre mondiale a fini par remporter, de 1978-1979 à nos jours, toute une série d’écrasantes victoires contre les propagandistes de « l’Holocauste » ou de « la Shoah ». Il a successivement réduit à quia ou contraint à la capitulation tous les grands noms de l’énorme mensonge selon lequel le IIIe Reich aurait exterminé les juifs d’Europe par millions (six millions, selon la version la plus courante) surtout au moyen de prétendues chambres à gaz d’exécution.
Ces grands noms ont été, par exemple, successivement ceux de Léon Poliakov, du prestigieux Fernand Braudel (accompagné de trente-trois universitaires français), de l’éminentissime historien américain Raul Hilberg, de Pierre Vidal-Naquet, de Jacques Baynac, de François Furet et Raymond Aron, de Robert Jan van Pelt, de Jean-Claude Pressac, de Robert Badinter ainsi que de Simon Wiesenthal, d’Elie Wiesel et du père d’Anne Frank, le banquier francfortois Otto-Heinrich Frank.
D’où cet affolement, de nos jours, chez les responsables des organisations qui prétendent représenter la communauté juive dans son ensemble. Devant un tel désastre, il ne restait alors à ces derniers qu’une issue : monter encore plus haut le son de leur tam-tam médiatique et faire en sorte que s’hystérise encore plus la répression judiciaire exercée contre les révisionnistes, qu’on nous présente sous les traits de simples « négationnistes » ou antisémites inspirés par la « haine ».
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Pour leur part, les révisionnistes, eux, savent ce qui les attend : la confirmation dans les grands médias, tôt ou tard, de ce qu’ils ont d’ores et déjà remporté une totale victoire sur le plan historique et scientifique. Il faudra bien que les pouvoirs politiques et médiatiques s’y résignent : persister dans la politique de la canonnière à l’extérieur et dans celle du bâillon et de la censure à l’intérieur ne fera que les déshonorer un peu plus. Pour rien.
Le flot montant qui, en particulier sur Internet, porte à la connaissance du monde entier les acquis spectaculaires du révisionnisme historique ne va pas soudainement interrompre sa course ou remonter vers sa source.
Les mensonges de « l’Holocauste » sont calqués sur ceux de la Première Guerre mondiale. Toutes ces « usines de mort » nazies, comme celle d’Auschwitz, ne sont qu’une reprise du mythe des « usines à cadavres » allemandes de 1914-1918. On les a simplement modernisées en leur ajoutant parfois le gaz (version juive américaine de novembre 1944) et parfois l’électricité (version juive soviétique de février 1945). On a fait croire au bon peuple, déjà généralement prévenu contre l’emploi de la crémation des cadavres, que les Allemands, nation réputée moderne et connue pour l’abondance de ses ingénieurs et de ses chimistes, avaient construit des bâtiments possédant, outre une salle de crémation, des pièces appelées « chambres à gaz » (en réalité, des « dépositoires », Leichenhalle ou Leichenkeller, techniquement conçus pour y entreposer des cadavres en attente de crémation). Ainsi en est-on arrivé à nous persuader que ces diables d’Allemands étaient assez bêtes pour loger sous un même toit, d’un côté, des chambres pleines d’un gaz hautement inflammable et hautement explosif (l’acide cyanhydrique ou cyanure d’hydrogène contenu dans le pesticide Zyklon B inventé dans les années 1920) et, de l’autre, des fours crématoires qu’il fallait laborieusement porter à 900 degrés.
Robert Faurisson - The inexorable victory of revisionism
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