Belżec - 500 000 cadavres sous le ciment

 




Belżec

500 000 cadavres sous le ciment

 

« Parce que juives », un demi million de personnes – l’équivalent de la population de Nantes - gazées avec de mystérieuses installations nazies puis enterrées dans des fosses communes avant d’être déterrées et incinérées sur des grilles en plein air et ré-enterrées, le "camp de la mort" désormais scellé sous une mer de béton pour "respecter" et ne pas contrôler. 



Collage ci-dessus, images de haut en bas, de gauche à droite : 1) Le camp de Belzec tel qu’il s’offre aux visiteurs aujourd’hui : une mer de béton. 2) Groupe de touristes 3) Monument reconstituant un bûcher. 4) Article de presse d’époque faisant état de meurtres de masse à Belzec par électrocution 5) Vue d’artiste de la crémation des corps 6) Vue aérienne du camp lorsque celui-ci a déjà été détruit. 7) Pommeau de douche retrouvé lors des fouilles. 8) Gardiens allemands du camp. 9) Les bâtiments de gazage, de taille modeste, tels qu’imaginés par l’histoire officielle. Notez qu’ils ressemblent à des pigeonniers… Un moteur de char russe T-34 aurait fonctionné, destiné à produire les gaz asphyxiants.


L’incroyable processus en 7 étapes







Bełżec est un autre camp « d’extermination » où sont censés avoir été éliminés entre 430,000 et 500,000 juifs.

Là aussi, entre 1997 et 1999, une équipe « d’experts » polonais est intervenue pour localiser les « fosses communes » où étaient censés se trouver un nombre de cadavres équivalent à la population de la ville de Nantes. Le professeur Andrzej Kola a procédé à 2,000 carottages. Il affirme avoir identifié 33 « fosses communes » dont il évalue la capacité à 15,840 mètres cubes dont 6,700 mètres cubes de cendres. Sur ces 6,700 mètres cubes, la moitié serait des cendres humaines, l’autre moitié les cendres du bois nécessaire à la crémation.

 

En partant d’une moyenne de 2,5 kilos de cendres par corps incinéré théoriquement, tous âges et sexes confondus, on obtient 1,250,000 kilos de cendres. Soit 1,250 tonnes, ce qui représente 1,100 mètres cubes de cendres humaines.

Autrement dit :

·         les « fosses communes » que Kola prétend avoir découvertes sont 15 fois plus grandes que ce qui aurait été nécessaire à l’enfouissement des cendres.

·         même en y ajoutant les cendres du bois qui aurait dû être utilisé pour la crémation des corps, avec un ratio de 1:1 ce serait encore 8 fois plus grand que nécessaire.

·         le volume de cendres humaines que Kola assure avoir trouvé à Bełżec (3,350 mètres cubes) équivalent à 1,2 millions de personnes incinérées contre 430,000-500,000 admises aujourd’hui par les historiens officiels.

Curieusement, ni Kola ni les historiens officiels n’ont tiré les conclusions de  ces « découvertes » extraordinaires. Avec 1,2 millions de juifs gazés et incinérés, ce serait 2,5 fois plus de victimes qu’initialement annoncés à Bełżec, ce qui en ferait un « camp d’extermination » plus important qu’Auschwitz (900,000 de juifs « gazés »). Les organisations juives internationales, Israël et le professeur Kola auraient-ils gardé le silence sur une révélation aussi énorme, eux qui se démènent pour garnir leur macabre  et rémunératrice comptabilité ? Bien sûr que non. S’ils ont passé ces « découvertes » par pertes et profits, c’est que cela aurait attiré l’attention sur l’absurdité de ces évaluations bancales.

Poussons plus loin : si seulement 1/8ème des cendres enfouies à Treblinka sont d’origine humaine, que sont les 7/8èmes restants ? Et si l’on a mélangé des cendres humaines avec une telle masse de cendres non-humaines dans de telles proportions, quel en était le but ?  Surtout, qu’est-ce qui nous dit que ce 1/8ème n’est pas un effet d’optique résultant de la dissémination intentionnelle des cendres de quelques milliers de personnes mortes dans des conditions naturelles récupérées ici et là ?

A Treblinka, les « experts » officiels expliquent « qu’il est impossible de compter » tandis qu’à Bełżec les « experts » trouve deux ou trois fois plus de victimes que ce qu’on est censé y trouver dans des fosses huit fois trop grandes. Enfin, à Auschwitz, on mange des saucisses de juifs gazés à l’insecticide. Quand enfin on demande comment, sans budget, sans plan et sans ordres le gouvernement national-socialiste dirigé par Adolf Hitler a réalisé cette mystérieuse opération, les historiens juifs répondent : « parce que ça a eu lieu ». Et jettent en prison ceux qui posent des questions.

Restons sur un principe simple : pas de cadavre, pas de meurtre.

-----

Des bûchers ridiculement petits

Monument reconstituant un bûcher à Bełżec.


Il y a beaucoup de divergence sur le nombre de bûchers de crémation. Les témoins mentionnent 1-4, tandis que les SS lors de leur procès à Munich de 1963 à 1964 ont admis que seulement deux avaient été utilisés, chacun mesurant 5 m x 5 m. Le premier a été construit à la mi-novembre 1942 et le second au cours de la première semaine de décembre, mais les SS n'ont pas été interrogés sur l'emplacement des bûchers dans le camp et ils n'ont pas donné d'autre information.

 

Un personnel très réduit

 

Membres du personnel SS en 1942.

En raison de la guerre, la direction du camp de Belzec se composait d'un petit nombre, entre 20 et 30, de fonctionnaires allemands de la SS et de la police. L'essentiel des unités de garde, entre 90 et 120 hommes, se composait soit d'anciens prisonniers de guerre soviétiques de diverses nationalités, soit de civils ukrainiens et polonais sélectionnés ou recrutés pour ce poste.

  

Des récit délirants

Page 1 (sur 33) du rapport de Kurt Gerstein, version du 4 mai 1945

 


 

Jürgen Graf :

« 500 000 juifs sont censés avoir été assassinés à Bełżec entre mars et décembre 1942. Selon l'"historien" que vous avez lu, entre un et cinq Juifs ont survécu au camp, de sorte que la monstrueuse machine "nazie" s'est avérée particulièrement efficace à Bełżec. Le témoin vedette des meurtres de masse à Bełżec est naturellement Kurt Gerstein, qui, on s'en souviendra, a fait état de 20 à 25 millions de victimes de gazage, de tas de chaussures et de sous-vêtements de 35 à 40 m de haut et de 28 à 32 détenus par mètre carré dans les chambres à gaz. En dehors de Gerstein, il n'y a qu'un seul "témoin" de la chambre à gaz, un juif "polonais" nommé Rudolf Reder, qui est censé être l'un des un à cinq survivants du camp. Reder a cependant parlé de trois millions de victimes du gazage à Bełżec

. -----

Les invraisemblables homicides au moteur Diesel

Robert Faurisson :

Les histoires qu’on nous raconte ici ou là sur des moteurs Diesel servant à asphyxier des gens sont invraisemblables; un moteur Diesel fournit surtout du gaz carbonique (CO2) et peu d’oxyde de carbone (CO) ; il fournit plus de CO, s’il est déréglé. Or, le CO2 n’est pas toxique comme le CO. Il provoque la mort dans la mesure où il finit par se substituer à la longue à l’oxygène dont nous avons besoin pour respirer. Les récits de Gerstein sont pleins d’invraisemblances : l’une de ces invraisemblances est qu’à Belzec, pendant des années, on aurait tué des centaines de milliers de gens avec un vieux moteur Diesel !

Même l’oxyde de carbone a des inconvénients. Ce gaz ne se répand pas de façon homogène dans un lieu donné. Il suit les courants d’air. Supposons un camion ou seraient enfermées plusieurs personnes à gazer. Le résultat pourrait être le suivant: selon le parcours de l’oxyde de carbone, certaines personnes seraient tuées, d’autres seraient simplement rendues malades, d’autres enfin seraient indemnes.

Les Allemands possédaient-ils tellement d’essence qu’ils pouvaient en consommer de cette manière ?

----

Le rôle trouble des Arbeitsjuden


Selon l’historiographie officielle, les Allemands et leurs auxiliaires soviétiques obligeaient sous la menace des détenus juifs à les seconder dans leur tâche d’extermination. A ceux-ci, les Arbeitsjuden (Juifs de travail), sélectionnés à leur arrivée au camp, étaient confiés les travaux les plus durs. A Belzec, ils devaient notamment extraire les corps des  wagons et les dents en or des bouches des gazés. Dès leur tâche effectuée, ils étaient impitoyablement tués.

---

La réalité : un camp de transit

Carlo Mattogno :

« De nombreux prisonniers juifs ont sans doute péri pendant ou après leur voyage en train vers les camps de l'Aktion Reinhardt. Il est également plausible que des centaines, voire des milliers de Juifs qui étaient trop faibles ou trop malades pour poursuivre le voyage vers l'est à partir des camps aient été tués par des fonctionnaires agissant de leur propre autorité. Ces prisonniers ont été enterrés dans les camps de l'Aktion Reinhardt. Cependant, il n'existe aucune preuve irréfutable que les camps d'Aktion Reinhardt étaient des centres d'extermination dans lesquels les Juifs étaient systématiquement mis à mort.

Les camps de l'Aktion Reinhardt étaient des camps de transit plutôt que des camps d'extermination. Les études démographiques, les nombreuses déclarations de Heinrich Himmler, les rapports sur les transferts de Juifs des camps de l'Aktion Reinhardt vers Auschwitz et Majdanek, l'absence de preuves médico-légales crédibles que des exterminations massives ont eu lieu dans les camps, les preuves photographiques et techniques, l'impossibilité de se débarrasser d'un si grand nombre de corps en si peu de temps, le manque relatif de secret et de sécurité dans les camps et la petite taille des zones où les corps étaient censés être enterrés, tout cela indique que les camps de l'Aktion Reinhardt étaient des camps de transit. » 

---

 Belzec : Les 550 000 corps enterrés avant les exhumations-crémations ont commencé en décembre 1942. Deux fouilles depuis la guerre. 

1.       Une enquête polonaise en 1945 a creusé neuf grands trous, jusqu'à 10m de large et 8m de profondeur. Les résultats : du sable mélangé à des cendres humaines intermittentes, ainsi que des os éparpillés. Aucune conclusion ferme ne peut être tirée, mais les termes "quelques restes carbonisés", "une partie d'un corps humain", "un crâne humain", "deux tibias et une côte", "un spécimen partiellement brûlé", etc. suggèrent quelque chose de l'ordre de centaines de corps, mais pas de centaines de milliers.

 

2.       Une enquête menée de 1997 à 1999, sous la direction d'Andrzej Kola, a permis de prélever 2 227 carottes de sondage selon un quadrillage. Ils prétendaient trouver "33 fosses communes", mais d'après leur taille, ils auraient pu contenir moins d'un quart des 550 000 corps qui y auraient été enterrés. De plus, leur contenu en cendres était sporadique, incohérent et "absolument incompatible" (Mattogno 2004 : 87) avec toute incinération de masse.

 

Les conclusions de Kola ont été publiées dans un petit livre, Belzec : Le camp nazi pour les Juifs à la lumière des sources archéologiques (2000). Il est peut-être révélateur que ce livre soit rarement cité, rarement discuté et pratiquement introuvable. Il semble qu'il n'apporte pas la preuve définitive que l'on espérait. 

 

 ---

Références :

Jürgen Graf, David Irving and the Aktion Reinhardt Camps, Inconvenient History, Vol. 1, No. 2, 2009// Peter Longerich, Holocaust : The Nazi Persecution and Murder of the Jews, Oxford University Press, 2010, p. 340. // Eugene M. Kulischer, The Displacement of Population in  Europe, Montreal : International Labour Office, 1943 // Carlo Mattogno : BelzecPropaganda, Testimonies, Archeological Research, and History : http://holocausthandbooks.com/index.php?page_id=9 // Renegade Tribune - The Other Holohoax Extermination Camp : http://www.renegadetribune.com/the-other-holohoax-extermination-camps

  -----

----

------------------------

Stop germanophobie - Signature en ligne !

 Pétition en ligne
 Signature en ligne de la pétition contre la germanophobie :
https://www.change.org/p/conseil-fédéral-stop-germanophobie
-----

Manifeste contre la germanophobie - Table des matières




Manifeste contre la germanophobie - Table des matières (holo-faux.blogspot.com)

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

The actual number of deaths in all German camps

In September 1944, a Red Cross team was sent to check the rumor of gas chambers in Auschwitz but could not find any extermination facilities

Initiative contre la germanophobie - Partie 2 - Les camps de la mort "nazis" soviétiques