8/15) L'acte d'accusation soviétique est entièrement faux

 

 8) L'acte d'accusation soviétique est entièrement faux

 

Le rapport officiel soviétique sur Auschwitz a été rédigé par les fraudeurs de Katyn.  

Deux des enquêteurs soviétiques qui ont compilé le rapport frauduleux attribuant aux Allemands la responsabilité du massacre de plus de 4000 Polonais par le NKVD en 1940 à Katyn ont également signé le rapport officiel soviétique sur Auschwitz.

 

Le rapport soviétique de 1944 qui accusait les Allemands d'avoir commis le massacre de Katyn a été répertorié à Nuremberg sous la quote 054-URSS. Deux des "experts'' qui ont signé ce rapport étaient:

 

«Membre de la Commission spéciale d'État, Académicien NN Burdenko»
«Membre de la Commission spéciale d'État, Métropolite Nikolaï»
 

Le rapport officiel soviétique sur Auschwitz a été répertorié à Nuremberg sous 008-URSS. Deux des hommes qui ont signé ce rapport étaient:


«L’Académicien NN Burdenko»
«Le Métropolite Nikolaï»

 

Le troisième signataire du rapport officiel soviétique sur Auschwitz est le charlatan biologique Lyssenko.

 

Cette citation de Jean-Claude Pressac :

 

« L'Union soviétique ... piégée par les souvenirs d'un passé coupable (Katyn, les Goulags), et par un présent également coupable, s'est discréditée aux yeux du monde.» (Technique, etc. p. 264.)


En 1944, Burdenko préside une commission d'enquête que l'URSS met en place pour enquêter sur le massacre de Katyn. Cette commission attribue la responsabilité des assassinats aux forces armées allemande. Aujourd’hui il est enfin admis par tous que ce sont les Soviétiques et non les Allemands qui ont commis le massacre d’environ 22 000 officiers polonais, non seulement dans la forêt de Katyn près de Smolensk mais aussi à Kosielsk, Starobielsk et Ostachkov. (Au procès de Nuremberg, il a surtout été question de Katyn).

 

Le crime de Katyn à Nuremberg

 

Le  Prof. suisse François Naville présidait la commission internationale chargée d’élucider le crime de Katyn.


Le 13 avril 1943, dans la forêt de Katyn, près de Smolensk en Union soviétique, les Allemands, agissant sur la base d'informations obtenues auprès de la population locale, ont découvert sept fosses communes contenant un total de 4 143 corps. L'enquête (au cours de laquelle les corps ont été examinés par une commission composée d'experts médico-légaux de 12 pays européens, par une commission de la Croix-Rouge polonaise et par des officiers américains, britanniques et canadiens choisis parmi les prisonniers de guerre) a montré que le crime avait été commis par les Soviétiques. Lorsque les Soviétiques ont ensuite réoccupé le territoire de Smolensk, les corps de Katyn ont été à nouveau exhumés et une commission composée uniquement de citoyens soviétiques (la Commission Burdenko) a été créée pour rejeter la responsabilité du massacre sur les Allemands. Le 15 janvier 1944, ils invitent également un groupe de journalistes occidentaux. Cet exercice de propagande à grande échelle dans la falsification de l'histoire est toujours attesté par les 38 brochures relatives à l'affaire Katyn, qui se trouvent encore aux Archives d'État de la Fédération de Russie. A Nuremberg, le massacre de Katyn, impudemment attribué aux Allemands par les Soviétiques, a été débattu lors de plusieurs sessions du procès de Nuremberg. 

La pièce qui, à Nuremberg, atteste faussement de ce que le massacre des Polonais à Katyn est un crime allemand est à “considérer“ comme faisant partie des “preuves authentiques“ (article 21, phrase 2 de l’article 21 du Statut du TMI).

 

La vérité, 40 ans après

 

    Les archives de l'État soviétique montrent une lettre de mars 1940 adressée à Staline par le chef de sa police secrète, Beria, ordonnant les meurtres.

 

L’“affaire de Katyn“ est longtemps restée une énigme. Et ce n’est que le 14 octobre 1992 que la version défendue par François Naville a été officiellement confirmée par les autorités russes. Parmi les archives remises ce jour-là au président polonais Lech Walesa figure en effet un jeu de photocopies qui prouve indiscutablement la culpabilité soviétique. Daté du 5 mars 1940 et signé de la main de Staline, l’ordre en question charge le NKVD (la police politique du régime) de procéder à l’exécution de 25 700 prisonniers de guerre polonais. C’est également le premier document historique attestant la responsabilité directe et personnelle de Staline dans une exécution de masse. 


Les libérateurs soviétiques d’Auschwitz, arrivés le 27 janvier 1945, n’y ont vu aucune chambre à gaz !

 

Robert Faurisson : 

« A partir de 1941, le mouvement de résistance à l'intérieur du camp de concentration d'Auschwitz a répandu un flot ininterrompu d'histoires d'horreur et de rapports sur les massacres de détenus. Mais le pesticide Zyklon B n'a même jamais été mentionné comme l'arme du crime, mais plutôt des "bains électriques", des gaz de combat et un "marteau pneumatique". Même après l'occupation du camp par l'Armée rouge, le 27 janvier 1945, le correspondant de guerre judéo-soviétique Boris Polevoï a publié dans la Pravda du 2 février un rapport sur un "tapis roulant électrique" sur lequel les détenus étaient systématiquement tués avec du "courant électrique" avant d’être conduits au sommet d’un haut-fourneau où ils étaient enfournées. » 

La version selon laquelle le Zyklon B est l'arme du crime ne se forme qu’au cours des mois suivants. 

 « Quelques semaines plus tard, les autorités soviétiques, jetant aux poubelles de l’histoire cette explication du juif russe Boris Polevoï, se rallieront à l’explication américaine du gaz et des fours, telle que forgée notamment par le juif slovaque Rudolf Vrba, le fameux faux témoin, adepte dans ses témoignages de ce qu’il appelait la « licentia poetarum » (sic) ou « licence poétique ». 

L’embryon des histoires d’exterminations massives à Auschwitz venait du mouvement de résistance à l’intérieur du camp. 


Le communiste juif allemand Bruno Baum, condamné en 1935 à dix ans de prison pour activité anti-gouvernementale avec Erich Honecker, futur président de l'Allemagne de l'Est communiste, et transféré à Auschwitz depuis la prison de Brandebourg en 1943, était, de son propre aveu, l'un des plus actifs fabricants de propagande du camp. Après la fin de la guerre, Baum a écrit ses mémoires, qui ont été publiées dans trois éditions différentes (1949, 1957, 1961). La première édition, publiée en 1949, se lit comme suit à la page 34 :

 

« Je crois qu'il n'est pas exagéré de dire que la majorité de la propagande d'Auschwitz diffusée à cette époque dans le monde entier a été écrite par nous-mêmes dans le camp. »

 

Une page plus loin, Baum renchérit : 

« Nous avons fait cette propagande [pour] le public mondial jusqu'à notre dernier jour de présence à Auschwitz ». 

Baum admet donc généreusement que les rapports du mouvement de résistance étaient de la "propagande".

La propagande communiste juive concernait aussi d’autres camps de concentration. Le 15 novembre 1942, le Mouvement de résistance du ghetto de Varsovie publiait un long rapport dans lequel il était dit qu’entre la fin juillet et le début novembre, deux millions de juifs avaient été exterminés à Treblinka dans des chambres à vapeur de “steam chambers“ (chambres à vapeur) pour tuer leurs victimes (document du TMI PS-3311).

 


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