5/15) Absence d'ordres

  


Un génocide de Sobibór ordonné sur un banc

« Pour expliquer le manque de documentation, Hilberg prétend que les ordres d'extermination ont été donnés verbalement. Par exemple, il affirme qu'Odilo Globocnik, le commandant SS de la police du district de Lublin, a donné des instructions génocidaires au commandant de Sobibór, Franz Stangl, sur un banc de parc. Sa source est le livre de Gitta Sereny, Au fond des Ténèbres, dont l'inutilité totale est connue de tous ceux qui la connaissent. »

 -Jürgen Graf

5) Absence d'ordres 

Aucun ordre n'a jamais été trouvé autorisant le meurtre en masse des Juifs d'Europe. 

Raul Hilberg contraint d'admettre : "Pas d'ordre hitlérien" et "pas de plan". 

En 1961, Raul Hilberg, le premier des historiens de l'"Holocauste", "le pape" de la science exterminationniste, a publié la première version de son œuvre majeure, La destruction des Juifs d'Europe. Il y exprime de manière doctorale la thèse suivante : Hitler a donné des ordres pour un massacre organisé des Juifs et tout a été expliqué comme provenant d'une manière ou d'une autre de ces ordres. Cette façon d'exposer la marchandise devait se terminer par un fiasco. Les révisionnistes ayant demandé à voir les ordres d'Hitler, Hilberg fut contraint d'admettre qu'ils n'avaient jamais existé. 



Hilberg au procès de Zundel en 1985.

Walter Laqueur reconnaît : 

« Jusqu'à ce jour, on n'a pas trouvé d'ordre écrit d'Hitler concernant la destruction de la communauté juive européenne et, selon toute probabilité, cet ordre n'a jamais été donné. » 

Colin Cross admet : 

«Il n'existe donc rien qui ressemble à un ordre écrit signé par lui pour l'extermination des Juifs en Europe.» 

Christian Zentner reconnaît: 

« On ne peut pas fixer le moment exact où Hitler a donné l'ordre...sans doute il n'a jamais été établi par écrit ... d'exterminer les Juifs. » 

Saul Friedländer admet : 

« On ne sait pas exactement quand l'idée de l'extermination physique des Juifs s'est imposée à l'esprit d'Hitler. »

 Joachim Fest reconnaît : 

« Jusqu'à aujourd'hui, la question de savoir quand Hitler a pris la décision pour la Solution Finale de la question juive est en suspens, et pour la simple raison qu'il n'existe pas un seul document sur le sujet. » 

Après avoir insinué que « c'est Adolf Hitler en personne qui a sans doute signé la condamnation à mort des Juifs d'Europe », l'historien de l'Holocauste Léon Poliakov, dans son livre Le Bréviaire de la haine, Calmann-Lévy, 1974 [1951], p. 171), admet qu'aucun document confirmant une politique d'extermination n'a été découvert. Il s'exprime ainsi: 

« Les trois ou quatre personnes principalement impliquées dans l'élaboration du plan d'extermination totale sont mortes et aucun document n'a survécu ; peut-être qu'aucun n'a jamais existé. » 

Les implications de cette déclaration sont claires. La vague référence à "trois ou quatre personnes" indique que le prétendu plan est en fait une hypothèse nébuleuse de la part de l'auteur. 

D'une manière générale, l'absence totale de preuves permet aux historiens officiels de donner libre cours aux spéculations les plus diverses. 

Personne n’a été en mesure de prouver l’existence d’un seul ordre d’extermination des juifs ; les tentatives pour nous présenter des ordres rédigés par Heinrich Himmler, Reinhard Heydrich ou d’autres en un langage "codé" ou "à décoder" ont échoué. 

La réalité, confirmée par des documents, est que l’IIIe Reich ne recherchait pas "la solution finale de la question juive" mais "une solution finale territoriale de la question juive". 

Robert Faurisson : 

« Après enquête préalable sur les possibilités d’installation d’un foyer juif soit en Palestine, soit à Madagascar, ces deux solutions avaient été écartées. La vraie solution serait à rechercher après la guerre. En attendant, il convenait de traiter les juifs européens comme une minorité hostile ou possiblement hostile. Il fallait concentrer une majorité de ces personnes soit dans des ghettos, soit dans des camps de travail forcé ou de concentration. 

La  “Solution finale“ à laquelle songeait Hitler pour l’après-guerre était “ territoriale “ (“Eine territoriale Endlösung der Judenfrage“), comme l’attestent le « protocole de Wannsee » et les documents y afférents. »


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La preuve définitive: l'absence d'ordre

 

D'un point de vue allemand, c'est l'absence d'ordre qui signe l'impossibilité absolue de l'Holocauste.

 

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Robert Faurisson :

 

« A la réunion de Wannsee, Heydrich réunit quatorze et non seize hauts fonctionnaires et leur fit part de son intention de procéder à la solution finale de la question juive par l’évacuation (c’est-à-dire la déportation) des juifs vers l’Est. Ceux qui pourraient être affectés au travail y seraient astreints, avec séparation des sexes (comme dans toute prison ou tout camp). Les juifs qui survivraient à cette épreuve seraient après la guerre remis en liberté et constitueraient la cellule germinative d’un renouveau juif. Tel est l’essentiel de ce texte.

 

Même en Allemagne et jusqu’à la fin de la guerre (mai 1945), il est resté des juifs en tant que tels, non clandestins et des millions de juifs européens ont survécu à la guerre. »

 

La rencontre Himmler – Musy

 

Robert Faurisson :

 

« Le 15 janvier 1945 Heinrich Himmler rencontre à Bad Wildbad, en Forêt Noire, le Suisse Jean Marie Musy, ancien président de la Confédération helvétique, venu de la part des Américains discuter une fois de plus de “l’amélioration du sort des juifs“. Les tractations ont déjà eu leur effet sur un point ; jusque là assignés parfois comme tous les autres aux travaux les plus durs, les juifs se sont vu accorder un privilège, celui de n’être plus affectés aux “travaux durs“ mais seulement aux “travaux normaux“. Dans une note consacrée à cette rencontre H. Himmler en vient à écrire :

 

« Tout comme chaque immigrant aux Etats-Unis doit verser mille dollars, chaque émigrant quittant le domaine de souveraineté allemand devra également verser mille dollars »

« Il doit être exclu que les juifs que nous laisserons sortir par la Suisse puissent jamais être refoulés vers la Palestine. Nous savons que les Arabes, tout autant que nous Allemands le faisons, refusent les juifs et nous ne voulons pas nous prêter à une indécence telle que d’envoyer de nouveaux juifs à ce pauvre peuple martyrisé par les juifs »

 

« Bien d’autres documents et bien d’autres faits attestent de ce que le IIIe Reich aspirait à l’expulsion des juifs d’Europe continentale et non à leur extermination. »

 

Références :

R. Faurisson, « Himmler rend compte de son entretien du 15 janvier 1945 avec Jean-Marie Musy au sujet des juifs », Ecrits révisionnistes, tome VII, 26 juin 2008, p. 111-113.// Blog Robert Faurisson : https://robertfaurisson.blogspot.com/2008/06/heinrich-himmler-rend-compte-de-son.html


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Envoi sur demande du Manifeste contre la germanophobie, 280 pages, format PDF. Ecrire à lefront@protonmail.com. Envoi dès mi-mai 2021.


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Stop germanophobie - Signature en ligne !

 Pétition en ligne
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